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  • samedi, août 14, 2021

    LE LOUVRE : FRANCE (APRES LA REVOLUTION)

    Bonne nouvelle : le Louvre étant maintenant réouvert depuis le 20 mai, j'en profite toujours pour faire un tour via leur propre site internet envers différentes collections, que j'ai choisi pour ma part de lier aux pays concernés, et bien sûr à la grande qualité des œuvres d'art, classées évidemment par ordre chronologique...

    16) Jean-Honoré Fragonard (1732-1806), Le Verrou.

    Je débute avec Fragonard, qui - à l'exception de Géricault et de Delacroix - a compté parmi les meilleurs peintres du XVIIIème siècle, roi du rococo et de la frivolité, ce qui contribua à en faire l'un des artistes préférés de Louis XV. Avec cette toile fort célèbre, datée de 1777, Le Verrou "raconte moins le désir féminin que la passion qui se joue entre un amant et sa maîtresse dans le secret de l'alcôve". C'est certes une œuvre très ambigüe, mais qui marque l'ensemble de sa carrière, plutôt très bonne jusqu'en 1805, où par ordre de Napoléon, tous les artistes résidents furent expulsés du musée du Louvre, et hélas condamnés à vivre dans la misère...
    17) Jacques-Louis David (1748-1825), Le Serment des Horaces.
    Nous en avons l'exact inverse avec Jacques-Louis David, qui après des débuts relativement sobres, se caractérisa par son adoption de la mort de Louis XVI, et par son adhésion immédiate à la politique de Napoléon (ce qui nous vaut cette toile célébrissime, Le Sacre de Napoléon). L'un de ses tableaux les plus caractéristique de son opposition aux peintres rococo reste celui-ci, Le Serment des Horaces, où l'on se retrouve plusieurs siècles en arrière, non seulement par le sujet choisi, mais aussi grâce à sa composition très ancrée, tournant autour de certaines couleurs, et ainsi par sa création de la tendance néo-classique, une triste mode de l'époque...
    18) Jacques-Louis David (1748-1825), Madame Récamier.
    Toujours du même peintre, mais volontairement inachevé par lui, ce portrait de Mme Récamier semble pourtant relativement conformiste, excepté les pieds de celle-ci, qui en étant nus caractérisaient les "mauvaises dames" de l'époque. Ce que Mme Récamier n'acceptait pas, raison pour laquelle elle laissa le tableau au peintre, et réalisa peu de temps plus tard son ambition de partir pour Rome, obligée par son opposition marquée à Napoléon Ier...
    19) Jean-Auguste-Dominique Ingres (1780-1867), Louis-François Bertin.
    Situé près d'un demi-siècle plus tard, Ingres fait de nouveau partie des plus grands peintres de l'époque, malheureusement obligé de s'installer à Rome jusqu'en 1824, où enfin il put revenir à Paris avec tous les hommages qui le concernaient. Nous pouvons le découvrir dans l'un de ses portraits les plus classiques, celui de Mr Bertin, alors directeur du Journal des Débats, mais qui inspira néanmoins beaucoup d'artistes postérieurs, tels que Derain, Modigliani, ou même Picasso...
    20) Jean-Auguste-Dominique Ingres (1780-1867), Œdipe explique l'énigme du sphinx.
    Nous revenons cette fois-ci à un tableau bien plus ancien de sa main, d'abord réalisé sous style d'étude en 1806, pour être ensuite repris en 1827, destiné au Salon et bien plus efficace. Bien qu'on y trouve pas encore le corps humain pleinement vécu, il s'agit là d'une transition certaine, dont nous allons trouver les résultats bien plus tard...
    21) Jean-Auguste-Dominique Ingres (1780-1867), La Grande Odalisque.
    D'ailleurs, il avait déjà naturellement en main les moyens de dessiner le corps parfait, comme le démontre clairement cette fameuse Grande Odalisque de 1814. Il est clair, dans ce tableau, que la perfection de la femme du harem n'empêche pas le peintre de recourir à ses propres interprétations, notamment du dos très long et de l'étrange jambe gauche. Quoi qu'il en soit, cette toile n'a pas beaucoup plu de son temps (ce qui est bon signe, finalement), et fut en outre la victime de la Chute de l'Empire, puisqu'elle avait été commandée par Caroline Murat, la sœur de Napoléon Ier...
    22) Jean-Auguste-Dominique Ingres (1780-1867), Le Bain turc.
    Nous voici désormais face à l'un de ses ultimes tableaux de 1862, Le Bain turc, qui est d'un érotisme désormais incontestable dans tous ces pays du Moyen-Orient, et marque nettement le premier pas de l'Origine du Monde de Gustave Courbet (1866), une toile incontestable conservée  au musée d'Orsay. Ingres avait alors 82 ans, ce qu'il inscrivit d'ailleurs fièrement sous une forme latine, AETATIS LXXXII, et il disait d'ailleurs qu'il ressentait "tout le feu d'un homme de tente ans"...
    23) Théodore Géricault (1791-1824), Le Radeau de la Méduse.

    Né un peu plus tard que Ingres, mais mort beaucoup plus tôt (à 32 ans), Théodore Géricault reste l'un des peintres les plus énigmatiques du Louvre, poursuivi par l'amour, la passion pour les chevaux, et la naissance progressive du romantisme pictural. Meilleure preuve avec cette très grande toile (1819), Le Radeau de la Méduse, basé sur une tragédie réelle emportant plus de 150 hommes, et pour laquelle il utilisa non seulement des mannequins vivants, mais aussi la représentation de corps morts, ce qui était encore plutôt rare. Si vous le souhaitez, vous en saurez beaucoup plus en vous rendant sur la complète description du tableau...

    24) Théodore Géricault (1791-1824), Course de chevaux libres : la Mossa.

    Alors que Le Radeau de la Méduse souffrit d'une critique très violente en France, il connut un grand succès en Angleterre, où Géricault voyagea de 1820 à 1821, en profitant pour jouir de la présence de superbes chevaux, tout à la fois en tant qu'amateur du genre et tant que peintre. On lui doit, entre de nombreux autres, ce tableau très caractéristique de sa propre passion, qui lui valu malheureusement de mourir à peine quelques années plus tard, ce que son ami Eugène Delacroix décrivit comme "une triste soirée, il est mourant, sa maigreur est affreuse"...

    25) Eugène Delacroix (1798-1863), La Liberté guidant le peuple (28 juillet 1830).

    Nous arrivons donc face à cet autre célèbre peintre du Louvre, Eugène Delacroix, principalement grâce à cette toile mythique, La Liberté guidant le peuple, qui apparut durant des années sur les billets de banque de 100 francs, de pair avec le propre visage du peintre. On la croit souvent liée à la Révolution française, mais elle est en réalité bien plus tardive (1830), représentant la fameuse lutte des Trois Glorieuses, qui parvint à éliminer Charles X au profit du dernier roi de France, Louis-Philippe. Il y en aurait encore beaucoup à dire, notamment aux sujet de la "provocation" seins nus de l'actrice principale, mais je préfère vous laisser le lien de Wikipédia, très riche à ce propos...
    26) Eugène Delacroix (1798-1863), La Mort de Sardanapale.

    Ce tableau-là, dû au même peintre, fut légèrement antérieur au précédent (1827), mais déclencha presqu'une émeute au musée du Louvre, faisant définitivement partie des "thèmes romantiques" encore rares. Il y décrit d'une façon très violente la mort-suicide de Sardanapale (631 av. J.C), tout d'abord raconté en 1821 par le poète anglais Lord Byron, ensuite en ces termes de Delacroix : "Sardanapale donne l'ordre à ses esclaves et aux officiers du palais d'égorger ses femmes, ses pages, jusqu'à ses chevaux et ses chiens favoris ; aucun des objets qui avaient servi à ses plaisirs ne devait lui survivre". Cette fois-ci, Delacroix se trouvait totalement opposé à Ingres, qui restait malgré tout fortement néoclassique, et déclencha une assez forte panique à l'époque, à l'exception de Hector Berlioz et de Victor Hugo...

    27) Ernest Meissonier (1815-1891), La barricade, rue de la Mortellerie.

    Ce peintre ultime (après quoi, l'on passe au musée d'Orsay) est sans doute bien moins connu que Delacroix, qui l'appréciait du reste énormément... Mais il restera pour nous le meilleur représentant de cette émeute qui frappa Paris en 1848, troublant la mise en place de la seconde république. On le découvre ici sous un tout autre angle que La Liberté guidant le peuple de Delacroix, où il remplaça les nombreuses allusions mythiques et romantiques par de nombreux morts ainsi placés au hasard dans le rue, et peints avec une précision sans pareille...
    Voilà, il est temps d'arrêter toutes ces descriptions, en espérant que celles-ci vous aurons donnée envie de les voir "pour de vrai", depuis que le musée du Louvre est réouvert, depuis le 20 mai 2021 (voir ici une grande partie de ses tableaux)... Je ne peux donc plus vous dire qu'une seule chose : laissez un commentaire (l'Allemagne et les Pays-Basl'Angleterre et l'Espagnel'Italiela France (avant la Révolution)), cela me fera énormément plaisir, après le temps qu'il m'a fallu pour réaliser cet article - en grande partie grâce au propre site du Louvre, qui détaille méticuleusement certains de ses meilleurs tableaux !

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    dimanche, août 01, 2021

    LE LOUVRE : FRANCE (AVANT LA REVOLUTION)

    Bonne nouvelle : le Louvre étant maintenant réouvert depuis le 20 mai, j'en profite toujours pour faire un tour via leur propre site internet envers différentes collections, que j'ai choisi pour ma part de lier aux pays concernés, et bien sûr à la grande qualité des œuvres d'art, classées évidemment par ordre chronologique...

    1) Anonyme, milieu du XIVème siècle, Jean II le Bon, roi de France.

    Bien qu'elle soit totalement anonyme, cette œuvre offre la particularité d'être la première depuis l'antiquité, ce qui lui confère un aspect exceptionnel. La formule classique est certes utilisée, mais le peintre s'efforce de donner à Jean II le Bon des traits caractéristiques, notamment liés à ses cheveux longs, sa barbe, et aussi à sa robe de bure noire - qui rappelle son rôle de chef de l'Eglise en France...
    2) Jean Fouquet (1420-1480), Charles VII, roi de France.
    Réalisé plus d'un siècle plus tard, vers 1450-1455, ce tableau de Jean Fouquet se distingue du précédent non seulement grâce à sa signature, mais aussi à la façon alors très nouvelle de représenter le Roi de France aux trois-quarts, sans aucun des attributs traditionnels de son rang. Sa vision très réaliste de Charles VII se retrouve dans la représentation de son visage, allant du long nez plongeant jusqu'aux petits yeux, et aussi de la lassitude de sa vieillesse, qui est heureusement compensée par le texte très élogieux de la toile...
    3) Enguerrand Quarton (1411-1466), La Pietà de Villeneuve-lès-Avignon.

    Réalisé également autour de 1455, ce tableau, d'une taille exceptionnelle de 163X218cm, paraît pour la plupart des spécialistes attribuable à Enguerrand Quarton - bien que certains d'entre eux le voient encore comme une pièce italienne, due à Giovanni Bellini, d'autres comme une œuvre espagnole. Quoiqu'il en soit, cela demeure exceptionnel, et reste lié à la traditionnelle luminosité de palette due à Quarton, de même qu'à sa représentation du visage, et des plis assez perturbants qu'il utilise très souvent...
    4) Jean Clouet (1480-1540), Le Portrait de François Ier, roi de France.

    Bien qu'étranger, Jean Clouet fit presque toute sa carrière en France, et fut sûrement influencé par le portait de Charles VII dû à Jean Fouquet, presqu'à un siècle de distance. Entré au service de François Ier en 1516, il était déjà un portraitiste reconnu, seulement comparable à Holbein, et son style est déjà typique de la renaissance. Le Roi est représenté dans sa plus pure majesté, sa barbe est très soignée, le nez nettement prononcé, et l'habit qu'il porte est absolument sublime, que ce soit dans ses couleurs ou les plis qu'il possède...
    5) Ecole de Fontainebleau (fin du XVIème siècle), Portrait de Gabrielle d'Estrées et de sa sœur la duchesse de Villars.
    Un tableau, qui bien qu'anonyme, laisse passer le mystère et l'érotisme de ces deux jeunes femmes au premier plan. C'est d'autant plus gênant que celle qui se fait pincer le sein (interprété à l'époque comme le fait d'être enceinte) n'est autre que Gabrielle d'Estrée, autrement dit l'une des maîtresses favorites de Henri IV. Mais les deux femmes ont l'air très droites, une nourrice présente à l'arrière-plan semble confirmer ce futur bébé, et de plus, Gabrielle d'Estrée tient à la main gauche une bague offerte par le roi - ce qui est sans doute son anneau de couronnement. Bref, beaucoup à dire, sur cette toile étonnante, qui fut d'ailleurs copiée un bon nombre de fois...
    6) Georges de La Tour, (1593-1652), La Madeleine à la veilleuse.
    C'est de très loin l'un de mes peintres français préférés, qui a quasiment couvert la première moitié du XVIIème siècle, notamment avec ce tableau de la fin de sa vie. Contrairement à ses prédécesseurs, il est très inspiré par Caravage, pratiquant ses clair-obscur d'une façon particulièrement constante... 
    7) Georges de La Tour (1593-1652), Saint Joseph charpentier.
    Un second tableau de lui, sur les six que compte le Louvre, date à peu près de la même période, autour de 1640-1645. Ce n'est certes pas dit dans le titre, mais c'est tout de même l'enfant Jésus qui apparaît à sa droite, qui à lui tout seul tient toute la lumière nécessaire à cette scène...
    8) Georges de La Tour (1593-1652), le Tricheur à l'as de carreau.
    Cette toile est par contre beaucoup plus ancienne (autour de 1638-1639), date à laquelle Georges de La Tour a été contraint de quitter Nancy pour rejoindre Louis XIII, dont il a été immédiatement nommé "peintre ordinaire du roi", et a reçu sa résidence au Louvre. Là encore, très inspiré par Caravage, il présente de gauche à droite le tricheur, la servante, la courtisane, et le jeune homme berné. Je pourrais certes vous en dire plus, mais je préfère vous donner le lien direct, tant il y aurait à en dire là-dessus...
    9) Jacques Blanchard (1600-1638), Vénus et les Grâces surprises par un mortel.

    Bien moins célèbre que le précédent, Jacques Blanchard n'a eu guère de possibilités de bien se faire connaître, étant donné sa mort à 38 ans. Il partit cependant pour Rome en 1624, puis pour Venise quelques années plus tard, avant de revenir pour la France, où il fut très bien accueilli par le roi Louis XIII. Il était très admiratif de la fameuse trilogie italienne (Le Titien, Tintoret, Véronèse), et s'en inspira pour peindre l'un des ses plus beaux tableaux, Vénus et les Grâces, que l'on peut voir aujourd'hui au Louvre...

    10) Philippe de Champaigne (1602-1674), La mère Catherine-Agnès Arnault et la sœur Catherine de Sainte Suzanne de Champaigne.

    Voici également un peintre assez peu connu, mais qui tout comme le précédent, vécut une grande popularité de son temps, notamment du fait de la reine, Marie de Médicis, et aussi grâce à son autorisation unique à peindre le cardinal de Richelieu. C'était un homme plutôt religieux et austère, janséniste, mais qui a réalisé ce tableau en pur hommage à sa fille Catherine, qui connut un véritable miracle en 1662, le fait de retrouver l'usage de ses jambes après de longs mois d'incapacité. Philippe de Champaigne offrit la toile au Port-Royal des Champs, et ses couleurs très peu utilisées sont assez compatibles avec le texte en latin inscrit à gauche, ce qui est plutôt rare...

    11) Hyacinthe Rigaud (1659-1743), Louis XIV (1638-1715).

    Evidemment, il s'agit du tableau de Louis XIV le plus connu de tous. Le peintre est moins célèbre de nos jours, mais il fut une véritable vedette à l'époque, peignant même trois portraits de Louis XV, aujourd'hui conservés à Versailles. Né autour de Perpignan et descendant d'une lignée d'artistes, il s'installa définitivement à Paris en 1681, où il a peint près de mille toiles, celle-ci restant la plus grandiose de toutes, ne serait-ce que par son caractère officiel et les objets que lui seul pouvait porter : la couronne, le sceptre, la main de justice, l'épée de Charlemagne, l'hermine et le trône... 
    12) Jean-Siméon Chardin (1699-1779), La Raie.

    Voici enfin mon autre maître français favori, Jean-Siméon Chardin. C'était un grand spécialiste des natures mortes, genre relativement peu pratiqué à l'époque, et auquel il va apporter un soutien incroyable (37 tableaux de lui sont visibles au Louvre). Grosso modo, l'encore vivant (le chat, les huîtres) se trouve à gauche de la toile, tandis que l'inanimé prend place à droite, l'ensemble se répartissant autour de la raie en une série de pyramides, assez impressionnants...

    13) Jean-Siméon Chardin (1699-1779), Pipes et vases à boire.

    Nous nous trouvons ici avec un second tableau, bien plus postérieur, mais qui jongle toujours avec les formes et les couleurs, comme s'il s'agissait d'une constante chez Chardin. La pipe, la fiole, le verre à boire en font quelque chose de typiquement masculin, et c'est semble-t-il une sorte d'aveu sur la petite condition bourgeoise de l'époque...

    14) Jean-Siméon Chardin (1699-1779), Le bénédicité.

    Daté de 1740, cette toile nous montre également que Chardin était fort habile lorsqu'il s'agissait de représenter des gens, même si cela n'était pas au départ sa spécialité. Il se fit grâce à ce tableau très bien reconnaître par Louis XV, et je vous laisse en apprendre davantage sur lui en vous rendant sur le site Jean-Siméon Chardin, comme à l'accoutumée...
    15) François Boucher (1703-1770), Diane sortant du Bain.
    Heureusement pour ce dernier peintre, il est mort juste avant la révolution française ! Il n'empêche : il a connu une existence heureuse, extrêmement prolifique, et presque toujours tourné vers le Rococo, ce qui lui valu la protection de madame de Pompadour. Bien que moins choquant que l'Odalisque (également conservé au musée du Louvre), Diane sortant du Bain reste tout de même relativement érotique, et cela est une grande innovation pour l'époque, avant le retour du Néo-classicisme, qui durera aisément jusqu'en 1800...
    Voilà, il est temps d'arrêter toutes ces descriptions, en espérant que celles-ci vous aurons donnée envie de les voir "pour de vrai", depuis que le musée du Louvre est réouvert, depuis le 20 mai 2021... Je ne peux donc plus vous dire qu'une seule chose : laissez un commentaire (l'Allemagne et les Pays-Basl'Angleterre et l'Espagnel'Italiela France (après la Révolution), cela me fera énormément plaisir, après le temps qu'il m'a fallu pour réaliser cet article - en grande partie grâce au propre site du Louvre, qui détaille méticuleusement certains de ses meilleurs tableaux !

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