L'INDEX DE TOUTES LES RUES, ARRONDISSEMENTS, BÂTIMENTS, ET ARTISTES :
  • C'EST ICI !!!
  • C'EST LÀ !!!
  • C'EST ICI ET LÀ !!!
  • POUR EN REVENIR À L'ORIGINAL, CLICQUEZ CI-DESSOUS :
  • OUI, C'EST BIEN ICI !

  • mardi, mai 24, 2022

    MON APPARTEMENT DU XVIIème (#1)

    Depuis le temps, il est de bon ton de vous présenter l'appartement que j'habite depuis 1993, soit presque 30 ans, en résumé...  Il est situé rue Jouffroy d'Abbans, soit à une centaine de mètres de l'Ecole Normale de Musique où j'enseignais, et voici de quoi il avait l'air en 1994, lorsque l'on venait à peine de finir les travaux :
    Evidemment, ça s'est énormément transformé durant toutes ces années, et voici désormais à quoi ressemble la section principale de ce trois pièces d'environ 70m2, où les murs sont enfin décorés et les lustres parfaitement adaptés :
    Je vous montre maintenant la pièce du milieu, traditionnellement la salle à manger, où je dînais avec deux amies lors de la célèbre canicule de 2005 :
    La même pièce pouvant bien sûr être beaucoup plus sérieuse, avec entre autres des couverts appartenant à mes grands-parents :
    La voici vue sous un autre angle, une fois la table bien au point, et avec une courte vue sur la troisième pièce, ma chambre à coucher - dont je n'ai malheureusement aucune photo :
    Seul inconvénient de cet appartement, si l'on veut, c'est qu'il se situe au rez-de-chaussée... Mais il y a aussi des avantages : primo, il est dans la cour, insensible donc au bruit des voitures ou des piétons, et capable d'accueillir entre autres la fête des voisins (2011) !
    Secundo, il est plutôt beau une fois le soir venu, n'est-ce pas ?
    J'aimerais bien sûr vous parler davantage de cet appartement, et d'ailleurs, je m'y consacrerai dès que possible... En attendant, je vais juste vous montrer quelques amis lors de différents anniversaires, que je fêtais tout d'abord en 2003 - oui, on est en train de jouer un quatuor de Brahms :
    Puis en 2007, dans la pièce du milieu, où se présentent trois jeunes filles, dont la plus belle est... Bien sûr, celle du milieu, d'origine japonaise, mais qui vit désormais à New York avec son mari :
    Toujours en 2007, mais cette fois-ci dans la pièce principale, où Emmanuel joue à l'alto la fameuse sonate de Schubert :
    Dans la même pièce en 2008 :
    Et enfin, histoire de terminer rapidement, un anniversaire très sympathique en 2011, où cette pièce ressemble quasiment à ce qu'elle est aujourd'hui :

    Je sais, nous sommes en 2022, et ceci n'a guère changé, depuis toutes ces années... Mais il me reste à vous présenter l'appartement comme il fut à l'origine, et vous allez voir, ce n'était pas vraiment une partie de plaisir !

    2) En 1993, le plus gros du travail

    3) En 1993, l'arrivée du piano

    4) En 1993, la salle de bains et la cuisine

    5) En 1995, le marbre dans la salle de bains

    6) En 1995, le marbre dans les pièces principales

    7) De 1998 à 2011, la fresque des toilettes et les deux toiles

    8) En 1988, mon tout premier appartement, à Levallois-Perret

    Libellés : , , , ,

    mardi, juillet 28, 2020

    MON APPARTEMENT DU XVIIème (#2)

    En fait, c'était au début, en 1993, un appartement totalement à refaire - ce qui explique son prix plutôt assez bas, ce qui est assez rare dans le quartier... Et nous avions des tas d'endroits à reconsidérer, qu'il s'agisse des portes ou du parquet :

    Je ne vous parle bien sûr pas de la salle de bains, qu'il fallut pour ainsi dire construire à partir de rien, en créant une nouvelle pièce... Mais ça a bien marché, au bout du compte :
    Il fallait également tout repeindre, ce qui n'était pas très difficile, mais tout simplement ennuyeux :
    Inutile de le préciser à Fumie Ito - ma femme -, qui devait déjà souffrir du manque de cuisine, comme on le voit bien sur cette photo :
    Fort heureusement, nous avions deux ou trois professionnels qui venaient nous donner un gros coup de main, comme on le voit très indispensables :
    Et aussi un couple d'amis, plus détendus, ce qui ne pouvait nous faire que du bien :
    Quoi qu'il en soit, ces travaux fondamentaux se sont facilement poursuivis pendant deux ou trois mois... Ce qui explique peut-être cet acte désespéré, si je puis dire :

    Evidemment, il fallait encore faire rentrer ce dont nous avions le plus besoin : le piano à queue... Mais soyez rassuré, cela va bientôt se produire !

    3) En 1993, l'arrivée du piano

    4) En 1993, la salle de bains et la cuisine

    5) En 1995, le marbre dans la salle de bains

    6) En 1995, le marbre dans les pièces principales

    7) De 1998 à 2011, la fresque des toilettes et les deux toiles

    8) En 1988, mon tout premier appartement, à Levallois-Perret

    Libellés : , , , ,

    lundi, juillet 27, 2020

    MON APPARTEMENT DU XVIIème (#3)

    Enfin, nous y voilà : faire rentrer le piano... Enfin, plus exactement, les deux pianos. Car en 1993, je travaillais encore en tant qu'arrangeur pour Jacques Martin, et j'avais vraiment besoin de cet instrument numérique - avec, bien entendu, tous les accessoires :

    Et bien sûr, d'une éventuelle armoire à partitions, qui devait être suffisamment grande pour accueillir tout le monde :

    Car au départ, disons depuis que j'avais l'âge de cinq ans, je travaillais sans m'arrêter le piano classique, et ce n'est que vers 1991 que mes parents m'ont enfin offert un piano quart de queue de marque Kawai - qui avait certes beaucoup de mal à traverser tout l'espace entre les deux immeubles, de sorte que nous devions le recouvrir à bon escient :
    Mais ce n'était qu'attendre un tout petit peu le moment final où nous pouvions enfin le libérer :
    Et le mettre sous les doigts magiques de Fumie Ito, ma femme, qui comme par hasard faisait le même métier que moi :
    Ma foi, que voulez-vous que je vous dises ? Même s'il restait encore pas mal de coins à arranger dans cet appartement, le plus gros était fait, et ce mois d'avril 1993 voyait enfin la disponibilité du piano au grand jour - ce qui lui valut de grands sourires :

    Pas mal, non ? Mais il reste quand même des travaux à faire, et ce n'est pas le plus drôle, puisqu'il s'agit de la salle de bains et de la cuisine !

    4) En 1993, la salle de bains et la cuisine

    5) En 1995, le marbre dans la salle de bains

    6) En 1995, le marbre dans les pièces principales

    7) De 1998 à 2011, la fresque des toilettes et les deux toiles

    8) En 1988, mon tout premier appartement, à Levallois-Perret

    Libellés : , , , ,

    dimanche, juillet 26, 2020

    MON APPARTEMENT DU XVIIème (#4)

    La salle de bains, ou alors la cuisine... Par lequel des deux dois-je commencer ? Et bien, par le pire des deux, et c'est évidemment la salle de bains, dans laquelle persistait un grand nombre de fuites, hélas :

    A tel point qu'avant même de s'y attaquer dans l'endroit nommé, il fallut même se rendre dans la cave commune, où nous apparut une première cause :
    Suivi aussitôt d'une seconde fuite, cette fois-ci uniquement liée à notre appartement et aux extérieurs, et qu'il nous fallut un certain temps avant de la réduire définitivement :
    Bref, cela nous prit au moins tout le mois de juin 1993, et si nous avions cette fois la salle de bains, nous n'avions pas encore la cuisine :
    Et pour cause... Voici à quoi ressemblait la vague cuisine qu'il nous restait de la part des anciens propriétaires, autrement dit quasiment rien :
    Fort heureusement, l'équipe de professionnels était là durant tout le mois de septembre, et mine de rien, cela allait vers quelque chose de bien mieux réalisé :
    Pour tout dire, on se retrouvait au mois d'octobre avec une belle cuisine, qui malgré sa taille assez petite, n'en avait pas moins tout ce qu'il fallait :
    Meilleure preuve en 2005, où mon grand ami de l'époque, Emmanuel, se lançait dans la difficile découpe du cuissot de chevreuil :
    Chose inconnue pour moi, mais je m'attaquais à un autre genre de cuisine en 2007, une omelette japonaise bien typique - que j'espère vous avez au moins dégustée une fois dans votre vie :

    Comme vous le voyez, tout marche désormais à peu près bien... La seule chose qui prendra du temps à s'améliorer, c'est le marbre, évidemment faux : mais je m'y mettrai sans problème, tout d'abord dans la salle de bains, et ensuite, sur différentes portes ou murs qui s'y prêterons !

    5) En 1995, le marbre dans la salle de bains

    6) En 1995, le marbre dans les pièces principales

    7) De 1998 à 2011, la fresque des toilettes et les deux toiles

    8) En 1988, mon tout premier appartement, à Levallois-Perret

    Libellés : , , , ,

    samedi, juillet 25, 2020

    MON APPARTEMENT DU XVIIème (#5)

    A partir d'aujourd'hui, autrement dit en 1995, mon appartement était pour ainsi dire potable... Mais ceci ne signifie pas amplement suffisant, si je puis me permettre, et voici donc ce que je commençais à travailler dès le mois de septembre :

    Vous voyez tout de suite ce que c'est, n'est-ce pas ? Bien sûr, du faux marbre, et si l'on en reste assez loin, sa teinte passe très bien :
    Et voilà le résultat final, entre la baignoire et les murs carrelés... Pour mémoire, le teint orange étant une reprise d'Impérador d'Espagne, et l'autre du blanc veiné :
    Néanmoins, c'était loin d'être le plus dur dans la salle de bains... Non, le pire était celui-là, que je commençais à faire au mois d'octobre de cette même année, en y allant relativement lentement :
    Il faut dire que le croisement entre les deux marbres est particulièrement délicat :
    En rouge, nous avons le Rance, et en noir et blanc le Grand Antique :
    Et si je ne trompe pas, du faux Sarrancolin sert de fond au miroir :

    Est-ce que ceci vous a plu ? En tous cas, j'en étais bien satisfait, puisque dès qu'arriva le mois de novembre de cette même année 1995, je me mis cette fois à des portes et des tables situées dans des zones nettement plus visibles !

    6) En 1995, le marbre dans les pièces principales

    7) De 1998 à 2011, la fresque des toilettes et les deux toiles

    8) En 1988, mon tout premier appartement, à Levallois-Perret

    Libellés : , , , ,