LYCÉE CLAUDE BERNARD
À l'intention des amateurs de Jurassik Park, je précise tout de même qu'il ne s'agit nullement d'un stégosaure géant, mais d'une chose peut-être encore plus dangereuse, étant donné la masse de stupidité, d'alcool et de violence que cet endroit peut cumuler certains soirs : le parc des princes (sans majuscule, car ça se mérite, ça aussi !)...
Petite photo dont je suis assez (très, en réalité) content :
Petite photo dont je suis assez (très, en réalité) content :
Dernier petit coup d'œil à la façade, avec sans doute la devise la plus mensongère jamais conçue par un régime gouvernemental (au moins, les latins disaient Dura Lex, sed Lex, bon, c'était pas super cool, mais ça avait au moins le mérite d'être réaliste !) :
Et puis il faut bien se décider à prendre possession des lieux, et par la grande porte, s'il vous plaît (avec cette belle devise, la seule chose qui mérite vraiment d'être défendue en ce bas monde, et qu'hélas de plus en plus de gens ignorent) :
Petite vue sur la cour géante (le bâtiment couvre à lui tout seul un énorme pâté de maisons), où il est désormais interdit de fumer sous peine d'une amende de 68€ !
Et maintenant, le "site dans le site" : l'intégrale des fresques de Maurice Denis (1870-1943) qui ornent le hall d'entrée, avec quatre petits encarts consacrés aux neuf muses de la mythologie grecque :
Ainsi que trois plus larges panneaux successivement intitulés "la culture française classique", "la philosophie", "chimie, physique, biologie" :
Bon, d'accord, c'est pas du Vermeer ou du Velasquez, mais enfin c'est tout de même beaucoup mieux que ce qu'on avait dans notre habituel conservatoire, non ?
Moins agréable : les coursives à n'en plus finir de ce bâtiment qui doit faire plusieurs dizaine de milliers de mètres carrés, d'autant plus flippantes qu'elles sont presque toujours désertes le mercredi. Là, il ne manque plus que les matons, le clan des jamaïquains et les toxicos, et on a la totale !
Moins agréable : les coursives à n'en plus finir de ce bâtiment qui doit faire plusieurs dizaine de milliers de mètres carrés, d'autant plus flippantes qu'elles sont presque toujours désertes le mercredi. Là, il ne manque plus que les matons, le clan des jamaïquains et les toxicos, et on a la totale !
Parfois, on a donc bien besoin de décompresser avec une chtite clope de Paris :
Voire même de se défouler avec la thérapie du "cri primal", absolument indispensable après plusieurs heures de "concertos techniques" pour violon...
Libellés : Beaux-Arts, XVIème, XVIIème
2 commentaires:
Une très jolie visite. Merci pour la mémoire de Gumard, entre autres.
Hum, assez curieux, ce "comment"... Car je n'ai pas du tout parlé de Guimard dans cet article, lol !
Mais bon, trois ans plus tard, cela fait tout de même toujours plaisir...
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