L'INDEX DE TOUTES LES RUES, ARRONDISSEMENTS, BÂTIMENTS, ET ARTISTES :
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  • vendredi, juillet 12, 2019

    JARDIN DES PLANTES (4)

    Et voilà, juste histoire de finir (en 2011, comme toujours)...
    L'article que je trouve bien sûr le plus géant de tous les quatre, au sujet du tout premier musée que j'ai visité, la Grande Galerie de l'Evolution (le plus proche de la Seine
    ), mais l'un de ceux que j'ai toujours trouvé le plus génial de tous, celui concernant la paléontologie et les propres squelettes de certains de nos animaux fétiches :
    À commencer par les dents de l'énorme baleine (Baleinoptère Rorqual), juste à l'entrée :
    Pour poursuivre avec ces magnifiques chevaux et buffles, bien sûr (et même, au dernier plan, une très facilement reconnaissable girafe, et un énorme élan, rarissime de nos jours) : Sans même parler de certaines de ces bestioles sous l'eau, à commencer par l'assez terrifiant narval : Tout ceci pour conclure (du moins, au tout premier étage) avec le plus sublime squelette du musée, celui de notre très fameuse déesse baleine, qui a beau souvent mesurer plus de dix mètres, n'empêche qu'elle ne mange que du plancton, des animaux marins d'à peine quelques millimètres, grâce à ses magnifiques fanons :
    Impressionnant, n'est-ce pas ?
    Sans compter qu'ensuite, l'on se retrouve au second étage quasiment en face de Jurrassic Park, avec un paquet de jolies bestioles datant d'environ 100 millions d'années (probablement pas toutes authentiques, mais très bien reconstituées) :
    Le fameux crâne du traumatisant T-Rex :
    Un autre prototype de l'alligator, mais qui doit mesurer plus de cinq mètres, bref, très impressionnant :
    Avec heureusement, juste en guise de contrepartie, une énorme tortue qui ne devait certainement pas être extrêmement méchante, n'est-ce pas ?
    Par contre, juste histoire de ne plus rire du tout, certains pré-mammifères de l'ère quaternaire, comparables au tigre, avec probablement 712 fois plus de puissance :
    Terrifiant, n'est-ce pas ?
    Autrefois, l'une des mes amies, autrefois dotée d'un site, Ccil, m'avait offert l'un de ses dessins magnifiques, extrêmement basé sur les canines de ce fameux monstre, n'est-ce pas ?
    Ce dessin continue du reste à toujours être affiché dans ma pièce principale, vu que je le trouve particulièrement expressif et très réussi !
    Mais bon, il est tout de même temps de quitter ce musée (et même aussi de se coucher, de temps en temps), alors voici quelques ultimes vues, déjà sur le Tricératops :
    Quelques autres sur le fameux brontosaure (de pas loin de trente mètres, mine de rien) :
    Et pour finir, ce musée revient heureusement à seulement 1700 ans avant Jésus-Christ, avec ce célèbre animal que tout le monde connaît bien sûr par cœur, n'est-ce pas ?
    Est-ce que vous avez déjà connu des gens qui n'aimaient pas les mammouths ?
    P.S : N'oubliez pas les trois articles précédents :

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    lundi, juillet 08, 2019

    JARDIN DES PLANTES (2)

    Second article (toujours en 2011)...
    Cette fois-ci uniquement dédié aux sculptures, relativement nombreuses dans ce très vaste Jardin des Plantes, de largement plus d'un kilomètre aller-retour, mine de rien !
    À commencer par l'une des plus célèbres d'entre toutes, celle du très fameux Jean-Baptiste de Lamarck (1744-1829), l'un des premiers grands biologistes de notre pays :
    Suite à quoi, juste à l'entrée de la très belle Galerie de la Paléontologie, l'on se retrouve d'un seul coup 150 millions d'années en arrière face à un bien gentil Stégosaure, de même que dans Jurassic Park II :
    Pour continuer avec un énorme Mammouth, datant de son côté de seulement 1700 ans avant Jésus-Christ (comme le prouve le Mac Donald's juste derrière lui !) :
    Et pour finir avec cette magnifique Galerie, la statue assez traumatisante située juste à l'entrée, celle d'un homme en train de se faire égorger par deux orangs-outans, une espèce qui existe toujours pour de bon (fort heureusement, il n'y en a plus aucun dans les rues de Paris !) :
    Une fois sorti de la Galerie, encore énormément de choses à voir, à commencer par la statue de l'autre très célèbre biologiste, naturaliste et mathématicien Georges-Louis de Buffon (1707-1788), qui a notamment extrêmement influencé le précédent Jean-Baptiste de Lamarck :
    Celle de Michel-Eugène Chevreul (1786-1889), un paraît-il fabuleux chimiste, qui mine de rien a dû trouver une bonne & vraie recette pour mourir à l'âge de 102 ans, hallucinant à cette époque :
    Celle de Jacques-Henri Bernardin de Saint-Pierre (1737-1814), surtout écrivain, notamment auteur du toujours trés réputé Paul et Virginie :
    Juste le long de la Galerie de Paléontologie, une statue sans aucune mention, mais qui fait certainement allusion à un problème philosophique ancien et bien connu, celui de l'œuf et de la poule :
    Et pour finir, la statue du bien plus tardif Emmanuel Frémiet (1824-1910), lui-même propre sculpteur auquel il fut rendu hommage dans ce jardin :
    Probablement parce qu'il est l'auteur de la précédente sculpture des orangs-outans, mais aussi de celle-ci en plein air, Le Dénicheur d'Oursons (de la même façon, encore un jeune homme qui se fait totalement déchirer par une bestiole, assez scotchant, non ?) :

    Bon... Je crois que j'en ai assez fait, là, n'est-ce pas ?
    Quelques jours de patience, et le prochain article à ce sujet (nettement plus court, je crois) va concerner les Grandes Serres !

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    mercredi, mars 14, 2012

    L'HÔPITAL (BIS)

    Oui, un bis relativement justifié...
    Car de fait, depuis aujourd'hui même ce mercredi 14 Mars 2012, je suis officiellement sorti de ce très bel hôpital :Situé, comme chacun le sait sans doute, au 47, boulevard de l'Hôpital (original, n'est-ce pas ?) :Histoire d'arrêter de plaisanter, une fois de plus, je vous offre tout de suite cette vue magnifique :
    Juste avant de passer très vite sur ce point de vue très joli de l'extérieur : Et bien sûr sur ces deux sculptures mythiques : Sans parler de ce très bel instrument, n'est-ce pas ?
    La seule chose dont je ne veux absolument pas parler, c'est bien sûr celle-ci :
    Mais vous savez déjà pourquoi, n'est-ce pas ?

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    vendredi, mai 13, 2011

    MAISON DE BALZAC

    47, Rue Raynouard dans le XVIème...
    Juste un tout petit peu avant d'arriver à la Maison de la Radio, et malheureusement juste devant cet immeuble de l'architecte Auguste Perret (1874-1954), lui aussi célèbre mais pour de toutes autres raisons, à savoir le premier usage vers 1903 du béton de ciment armé, auquel je préfère de mon côté très fortement la fameuse pierre de taille !
    Fort heureusement, la maison de cet immense écrivain Honoré de Balzac (1799-1850) se révèle particulièrement mignonne, d'autant que se découvre tout au fond l'un des monuments les plus visités du monde, même si seulement bâti 39 ans après sa mort :
    En prime, son assez vaste jardin très agréable est accessible à tout le monde quasiment chaque jour, avec en guise de cadeau deux très jolies statues de sphynx, que ce grand amateur d'Art a probablement dû commander de sa propre personne :
    Bref ! Après avoir passé un certain temps à l'extérieur, il fallait tout de même que je me décide à rentrer dans ce musée... Cette maison, de plusieurs étages, fut en réalité louée à diverses personnes à l'époque, et Honoré de Balzac n'habitait en fait que l'appartement du haut, d'une taille d'environ 100m2 au maximum, à commencer par cette toute première pièce ornée d'un superbe tableau de femme nue, probablement dû à son grand ami Théophile Gautier :
    Seconde pièce, dotée d'énormément de manuscrits de ce gigantesque écrivain, qui tout en mourant à 51 ans a publié environ 90 nouvelles et romans, la plupart du temps d'une taille très vénérable :
    Troisième pièce, garnie de ce que l'on nomme assez curieusement les camées, la plupart du temps assez humoristiques :
    Et enfin, l'ultime pièce de cet étage, quasiment mythique, puisque l'on y trouve le bureau et le magnifique fauteuil baroque où Honoré de Balzac passait entre 16 et 18 heures par jour (!) à écrire ses ouvrages, et du coup à se gaver de café pour rester éveillé, ce qui est apparemment la cause de sa mort, d'après les autopsies :
    Dans la foulée, l'on peut également visiter l'étage inférieur, où figurent un certain nombre de jolies statues de l'écrivain classées chronologiquement, à commencer par la plus réaliste de toutes :
    Pour poursuivre ensuite avec celle que je préfère (vu que bien sûr, totalement baroque, ce que j'adore) :
    Et enfin terminer avec de beaucoup plus récentes, et donc de plus en plus barrées, si je puis dire :
    Juste à la sortie du musée, il y avait cette très jolie maquette d'à peine un mètre, où l'on voit seulement l'appartement de Balzac, et pas du tout les autres étages :
    Bonne occasion pour me permettre de questionner le responsable du musée, qui m'a livré cette information presque impossible à deviner personnellement... En fait, pour voir l'intégralité de la maison, il faut tout d'abord remonter le minuscule escalier de sortie, pour ensuite redescendre un peu plus loin le vrai escalier jusqu'à la minuscule rue Berton (qui portait autrefois le bien plus joli nom de rue du Roc) :
    Avec une fois de plus la vue de l'un des plus célèbres bâtiments du monde :
    Sans compter que d'une façon assez hallucinante dans le XVIème, c'est comme si l'on se retrouvait d'un seul coup à la campagne comme à Montmartre, autrement dit, avec beaucoup d'arbres et aucune voiture :
    Plus cette étonnante plaque :
    Bref ! Très belle visite, très beau musée, et en plus avec une météo particulièrement sublime ce jour-ci :
    Adoncques : évidemment, je recommande vivement cet endroit à tout le monde, d'autant que ceci vous coûtera quelque chose du genre zéro centime, en gros !

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