L'INDEX DE TOUTES LES RUES, ARRONDISSEMENTS, BÂTIMENTS, ET ARTISTES :
  • C'EST ICI !!!
  • C'EST LÀ !!!
  • C'EST ICI ET LÀ !!!
  • POUR EN REVENIR À L'ORIGINAL, CLICQUEZ CI-DESSOUS :
  • OUI, C'EST BIEN ICI !

  • samedi, avril 09, 2011

    RUE DE LÜBECK

    Et oui, encore une nouvelle vaste promenade !
    Vu le temps qu'il a fait ces derniers jours, aucun problème... Donc, comme d'habitude, je suis revenu à pied de la rue Jean de la Fontaine (XVIème) jusqu'à la rue Jouffroy d'Abbans (XVIIème), en passant comme d'habitude devant le très célèbre Trocadéro !
    Phénomène très curieux : j'adore la musique classique, alors que je déteste totalement la danse... En revanche, je ne raffole guère musicalement du rap, hormis certains groupes exceptionnels, mais par contre, leur façon de danser m'éclate toujours absolument, comme ce fut le cas ce jour-ci sur cette fameuse place :
    Phénomène absolument exceptionnel : il fait généralement très beau à Paris, mais très souvent avec un ciel bien voilé... De sorte que cette fois-ci, un grand merci à mon génial NIKON, dont le zoom en direction du Panthéon et des Invalides s'est révélé absolument génial ce jour-ci, grâce au soleil, bien sûr :
    Et que dire de ces magnifiques sculptures, dont j'ai déjà beaucoup parlé ? Sinon qu'avec la réflexion du soleil couchant, je les ai trouvées encore plus géantes :
    Enfin bon... Cessons ce bref prélude pour passer au titre essentiel de cet article, la rue de Lübeck (ville allemande bien connue), une rue assez courte conduisant du Trocadéro jusqu'à l'avenue d'Iéna :

    Avec la plupart du temps de très beaux immeubles, ornés entre autres de doubles vitrages, sans même parler de certains lions :

    Et notamment celui-ci, au N°26, bis, un très joli hôtel particulier qui appartient désormais au Management Institute of Paris :

    Tout en traversant la rue de Lübeck, l'on croise forcément l'autre rue Boissière :

    Toujours avec de superbes immeubles, mais surtout avec une brève vue sur le très fameux musée Guimet, à visiter absolument au moins une fois dans votre vie si vous en avez la possibilité :

    Phénomène absolument incroyable, et de façon très étonnante juste à côté de ce musée oriental... C'est que j'ai découvert à cette occasion une chose que je n'avais absolument jamais vue à Paris, la copie pure et simple d'un pavillon japonais, avec même les bambous et le jardin Zen juste à l'entrée :

    Incroyable, n'est-ce pas ?
    Juste un tout petit peu plus haut, un très célèbre Institut Catholique, qui fut hélas massacré au XXème siècle avec un immonde immeuble moderne entre les deux bâtiments très proches l'un de l'autre (alors que je suppose qu'autrefois, un très joli jardin devait exister entre les deux églises) :

    Et voilà ! Me voici enfin rendu à l'avenue d'Iéna (et donc à la fin de la rue de Lübeck), avec ces deux magnifiques ambassades, celle du Sultanat d'Oman, et celle de l'Égypte :

    En guise de conclusion, je me suis remonté toute la très peu connue rue de Bassano jusqu'aux Champs-Elysées, avec hélas assez peu d'immeubles remarquables, sinon celui-ci, bien sûr !

    Et bien sûr ces deux-ci, juste avant d'arriver à la plus célèbre avenue du monde :

    J'espère que tout ceci vous aura plu... Vu qu'étant donné le climat quasiment estival de ce mois d'avril, je fais énormément de marche à pied dans Paris, et du coup énormément d'articles !

    Libellés : , , , , , , , , , ,

    jeudi, avril 15, 2010

    RUE DES BELLES FEUILLES

    Tout en commençant par l'avenue d'Eylau...
    Départ (après quelques vingt minutes de marche) depuis le Trocadéro, avec le magnifique bâtiment au N°1 de l'avenue d'Eylau (terme lié à la guerre de Napoléon en Russie, dont j'ai très récemment parlé au sujet de cette église du même nom, place Victor Hugo) :
    Jolie rotonde, dont l'étrange porte dispose en prime d'armures et d'épées :
    Juste en face, un autre immense hôtel particulier :
    Et un petit peu plus loin, un immeuble sans le moindre intérêt, certes, sinon cette plaque consacrée à l'un des plus grands chanteurs russes du début du XXème siècle, Feodor Chaliapine (1873-1938) :
    Malgré tout, il y a fort peu de choses originales à voir dans cette rue, hormis peut-être celle-ci, vers le N°30 :
    Sympathique, le dernier étage, non ?
    Une fois arrivé au bout de cette courte rue d'environ 250m, il me semble apercevoir au loin un monument vaguement connu... La Tour de Babel, peut-être ? Pas sûr, là, mais en tout cas, un nom qui ressemble vaguement, je crois :
    Jonction entre les deux rues dont je parlais en tête de l'article, la place de Mexico (une "grande sculpture", digne de la "grande qualité" de leur soi-disant "grande musique", isn't it ?) :
    Et voici désormais le début de la très joliment nommée rue des Belles Feuilles, et Dieu merci qu'elle ait hérité de ce nom flatteur, car contrairement à la plupart des très harmonieuses rues du Sud du XVIème, celle-ci se révèle très souvent gavée de n'importe quoi, meilleure preuve dès le début :
    Avec entre autres ce très étrange immeuble, juste avant de croiser l'avenue Victor Hugo :
    Un immeuble dont je ne suis pas parvenu à trouver le nom de l'architecte (tout en le cherchant bien) :
    Néanmoins, même si assez laid à voir de l'extérieur, le fait d'habiter d'immenses pièces de près de 5m de plafond ne doit pas être monstrueusement désagréable une fois rendu à l'intérieur, je suppose (j'ai exactement vécu la même chose au Liban) :
    Un tout petit peu plus loin, la minuscule impasse des Belles Feuilles, où se trouve bien sûr une très jolie école :
    Surmontée de ce fameux proverbe, bien connu de nous autres parisiens, Fluctuat Nec Mergitur :
    Et de nouveau, pour changer, un immeuble immonde de notre précédent siècle... Qui laisse cependant deviner quelque chose un tout petit peu plus loin :
    En l'occurrence l'Ambassade du Tchad (N°65), actuellement en cours de réfection et déplacée provisoirement rue Baudin à Levallois-Perret (banlieue très proche du XVIIème, où j'ai tout de même pratiquement vécu durant trente ans) :
    Un tout petit crochet rue Émile Menier, parce que cette porte m'a beaucoup plu :
    Et voici la fin, juste avant d'arriver à l'avenue Foch (que je me suis elle aussi tapée en entier !), de nouveau avec un bâtiment lamentable de notre époque :
    Lequel offre cependant un reflet plutôt sympathique :
    Vu la taille et la classe du bâtiment, je pensais même de prime abord qu'il devait s'agir d'une Ambassade, ou d'un lieu réservé aux Chefs d'État, mais non...
    Pas du tout... C'est tout simplement le très fameux Hôtel Saint James, presque gratuit, comme chacun sait (disons, de 300€ à 500€ la chambre, sans même parler des suites) !
    Ceci dit, n'ayant, comme tout le monde, qu'une seule et unique vie... Pourquoi ne pas en profiter de temps en temps pour s'éclater comme de vrais malades, au lieu de faire en permanence des économies à la con, quoi ?
    Bref... Très bel endroit, malgré leurs tarifs (mais l'on doit en sortir avec de sublimes rêves, je suppose) :
    Et bien sûr, je n'ai absolument pas fini ma promenade, là ! Il faut encore que je me remonte toute l'avenue Foch (que je ne connaissais presque pas, mais avec assez peu de choses remarquables, sujet du prochain article), puis me redescendre toute la rue Jouffroy d'Abbans, que par contre je connais très bien...

    Libellés : , , , , ,

    jeudi, mars 25, 2010

    AVENUE DE NEW YORK

    Et oui, encore une superbe journée !
    Today, histoire de changer un peu, j'ai pris le bus 94 jusqu'à la fameuse place de la Concorde, pour ensuite aller à pied le long de la Seine jusqu'à Radio-France, en résumé une très grosse heure de promenade...
    Anecdote rigolote : en sortant du bus et en prenant en photo l'Ambassade des USA, je me suis fait immédiatement engueuler par les flics. Genre typique, "Mais enfin, vous n'avez absolument pas le droit de photographier cette Ambassade, pour des questions de sécurité" ! N'empêche qu'ils n'ont même pas tenté de regarder mon NIKON histoire d'effacer les photos, alors ceci m'a vraiment semblé très routinier, très banal et très étrange...
    Juste à droite, bien sûr, le sublime enchaînement de l'Hôtel Crillon et du Ministère de la Marine :
    Plus uniquement cette simple vision de la place de la Concorde - vu que j'ai déjà plutôt souvent parlé de cet endroit :
    Peu de temps après, rapide arrivée aux deux Palais, le grand (à gauche) et le petit (à droite) :
    Étranges, comme termes, non ? Vu que le Petit Palais doit déjà mesurer plusieurs milliers de m2, l'immensité du Grand Palais est quasiment inimaginable !
    Une chose qui m'a énormément surpris : c'est qu'en vertu de la sûrement très magique exposition du trop génial peintre William Turner (1775-1851) dans ce Grand Palais, je m'attendais à découvrir une queue monstrueuse, et en fait, il n'y avait quasiment personne (adoncques, je vais sûrement y aller, car j'adore ce peintre anglais, et que malheureusement, même au Louvre, nous en avons très peu d'exemplaires à Paris) :
    Le toit Sud du Grand Palais :
    Et quelques centaines de mètres plus loin, le très fameux pont Alexandre III, qui offre une sublime vue sur l'Hôtel des Invalides :
    Avec, autour du pont, de très belles sculptures plaquées or, comme celles au sommet du magnifique Opéra Garnier :
    Un peu plus loin dans l'avenue de New York, la fameuse statue de La Fayette :
    Puis une Ambassade Africaine, juste à côté de celle du Brésil, ce qui va me permettre de poser une petite question piège à tout le monde, à l'occasion : de quel pays peut-il bien s'agir ?
    Arrivé place de l'Alma, une très étonnante sculpture (avec, bien sûr, un monument très célèbre au dernier plan) :
    Celle de La Flamme de la Liberté, offerte par les USA :
    Peu de temps après, le récemment rénové Palais de Tokyo, un musée d'Art moderne :
    Et par la suite, toujours la même émotion en vue de la célèbre tour Eiffel et des nombreux bateaux :
    Juste avant d'arriver au bord de la passerelle Debilly - malgré son nom, non pas faite pour les "débiles", vu qu'il n'y a aucune voiture, seulement des piétons ou des cyclistes !
    Encore plus vers le Sud, le fameux Conservatoire Rachmaninoff, un très joli hôtel particulier :
    Le Trocadéro, bien sûr (dont j'avais déjà publié de très belles photos ici-même, un jour de très grand beau temps) :
    Par la suite, j'ai continué tout au bord de la Seine, avec l'avantage de découvrir certains bateaux-maisons - quoi que beaucoup moins qu'à Amsterdam, par exemple :
    Mais aussi l'immense inconvénient de se trouver heurté par la très connue voie Georges Pompidou, qui est extrêmement difficile à traverser (mais bon, je ne me suis pas fait écraser, je ne suis pas mort, alors c'est déjà ça !) :
    Et voilà : j'arrive presque au bout, avec au dernier moment l'assez stupéfiant pont de Bir Hakeim (en hommage à une célèbre bataille de la seconde guerre mondiale), et son étrange sculpture d'amoureux :
    Et au final, la très bien connue maison de Radio-France, en cours de réparation jusqu'en 2014 (incroyable, cette histoire !) :
    Voilà... En gros, une bonne heure vingt de marche, mais vu le temps sublime qu'il faisait aujourd'hui (plus de 20°, largement) et le nombre incroyable de chefs-d 'œuvres auxquels l'on se trouve confronté durant ce long trajet, c'était très cool, en résumé...
    Adoncques, la vie, c'est ultra-cool, en fait !

    Libellés : , , , , , , , , , , , ,