L'INDEX DE TOUTES LES RUES, ARRONDISSEMENTS, BÂTIMENTS, ET ARTISTES :
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  • jeudi, janvier 25, 2024

    TOUR EIFFEL

    (21-07-2009)
    POUR MON ANNIVERSAIRE DE 65 ANS !
    Et oui, tout arrive !
    Après trois semaines vécues juillet 2009 soit dans le sublime hôpital Lariboisière, soit dans l'immonde hôpital Fernand Widal, il était tout de même temps de revérifier ma propre santé une fois pour toutes, en me rendant à l'endroit le plus visité de Paris (en compagnie de personnes très jolies et sympas, Elisa et Zoun), et en plus, moi, à l'extrême droite, avec les toujours magnifiques Buffalo :
    Alors mine de rien, il m'est une fois de plus arrivé de passer fort près du très fameux palais de Chaillot, bien sûr l'un de mes lieux favoris, vu que dès qu'allant travailler à pied, je le côtoie forcément :
    Palais au demeurant orné de fort belles statues mythologiques, mais aussi toujours porteur des très curieuses (et très étonnantes) poésies de Paul Valéry :
    Tout ceci jusqu'à tomber sur ce fameux monument âgé précisément de 120 ans (1889), la célébrissime tour Eiffel, au sujet de laquelle je me permettrai pour une fois de ne rien dire, tant la taille de ce fameux lien suscité s'avère gigantesque ! En contrepartie, je me contenterai de vous la montrer :
    Bon, vous n'allez peut-être pas aimer... Alors je vous donne aussi une propre version :
    Sacré engin, tout de même (bien que vu de loin, cela ne se devine pas forcément) :
    Mais bon, soyons sérieux... En tant que "jeunes personnes" (enfin bon, pas moi, vu que je viens d'en avoir 50, et non pas la trentaine, comme les deux autres), nous nous sommes bien évidemment engagés pour monter à pied :
    Ce qui non seulement n'a rien de réellement bien fatiguant (une vague centaine de mètres, en gros, autrement dit, juste de quoi hurler de rire si l'on adore la montagne, dans mon genre), mais permet en outre de passer au-delà de l'énormissime queue concernant tous les pauvres adeptes de l'ascenseur, condamnés pour leur part à plus d'une bonne heure d'attente :
    On finit tout de même par tous arriver au moins au premier étage d'une centaine de mètres, d'où la vue se révèle toujours sublime, qu'elle donne à la fois sur Notre-Dame (l'absolue extrême gauche), les Invalides dorées, ou encore la très laide tour Montparnasse, critiquée dès sa création non seulement pour sa hauteur, mais aussi pour son emplacement immonde, qui détruit d'un seul coup toute l'ancienne harmonie du très fameux Champ de Mars :
    Côté nord, la seule minuscule colline de Paris, ainsi que son très fameux Sacré-Coeur :
    Et côté sud, bof...
    Néanmoins, vu ma propre santé, qui redevient peu à peu très normale, aucun problème pour s'engager jusqu'au plus fin deuxième étage (toujours à pied, bien évidemment) :
    En comparaison au tout premier :
    Il faut bien admettre que la vue s'avère plutôt différente (et - soyons honnêtes - très flatteuse, n'est-ce pas ?) :
    L'ultime photo que j'ai prise, à part la Seine, représente le célèbre hôtel du Palais des Congrès, sorte de tour dominante en gros aussi mal conçue que la très fameuse tour Montparnasse :
    Bon. Je ne suis pas très fier de moi, là, sur ce coup. Il m'est arrivé de publier de plus belles images, d'écrire de meilleurs reportages, voire mieux, de faire découvrir aux amateurs d'architecture de Paris d'incroyables endroits très réservés, etc...
    Mais voilà, c'est comme ça ! C'est la sortie d'hôpital pour moi, c'est le mois de juillet déjà bien entamé, c'est aussi la météo plutôt pourrie, alors bon... Tant pis si je devais paraître comme plutôt orgueilleux, mais aucune autre idée supplémentaire ne m'étant venue dans le crâne, j'espère simplement que vous apprécierez ce tout petit article (avec bien sûr, dans la foulée, un petit commentaire, n'est-ce pas) ?

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    dimanche, mars 08, 2020

    CRUES DE LA SEINE

    Bon, pas trop grave, finalement… Ce qui est plus gênant, en ce début du mois de mars 2020, c'est l'altitude du zouave du pont de l'Alma, qui commence à nager pour de bon, et a même failli se noyer avec près de 4,30m :
    C'est un peu glaçant, n'est-ce pas ?
    En tous cas, cela donne lieu à de belles photographies, comme nous le prouve une fois de plus le site Yakawatch :
    Mais revenons un peu en arrière… Tout d'abord, avec ce qui s'est produit le 28 janvier 2018, où la seine est montée jusqu'à 5,86m :
    Puis avec ce qui s'est passé en 2016, le 4 juin (et oui, bien que très courant, cela n'a pas lieu exceptionnellement en hiver), où nous avons atteint cette fois les 6,10m :
    C'est joli, n'est-ce pas ? Mais vaguement angoissant et traumatisant, tout de même :
    Et enfin, bien plus grave, ce qui a fini par arriver le 23 janvier 1910, soit exactement 110 ans avant la crue actuelle… Pour tout dire, presque jamais nous n'avions connu une telle hauteur (8,60m), comme le prouve cette carte postale qui nous montre l'avenue Daumesnil dans un drôle d'état :
    C'est encore plus impressionnant vu de la tour de l'horloge de la gare de Lyon, qui ne nous montre en fait que des confluents de la Seine, à la place des rues habituelles :
    En fait, près de 20000 immeubles sont inondés, la moitié du réseau métropolitain de cette époque est totalement interrompue… Et comme bien d'autres, le fameux quai de Passy, l'un des plus prestigieux du XVIème arrondissement, est totalement fermé, jouissant du "rétablissement de la circulation par passerelles" (je ne fais que citer) :
    Pour tout dire, cette inondation comportant un seul pic se montait à 400 millions de francs-or - soit l'équivalent de 1,6 milliard d'euros, mine de rien ! Est-ce la plus grande crue que Paris n'ait jamais connue ? Certes, oui, au vingtième siècle, elle s'inscrit sans problème dans les vedettes…
    Mais c'est oublier les siècles précédents, et particulièrement le dix-septième, en 1658, où eut lieu la plus grande inondation constatée dans la capitale - comme le prouve ce tableau basé sur le zouave du pont de l'Alma :
    Alors certes, la photographie n'existait pas encore… Mais ce qui en est livré comme dessin reste relativement éprouvant, "l'inondation de dessus le chemin des Grenelles, le 2 février 1658" :
    Plus impressionnant encore, tout ce quartier qui fait face à Notre-Dame, et où les ponts comportent encore (mais oui) des maisons :
    Meilleure preuve ici, au pont Marie qui permettait de se rendre île Saint-Louis, où les baraques connaissent hélas leur tragique destinée le premier mars, ce qui vaudra la mort à une vingtaine de personnes...
    Les arches du pont furent reconstruites en 1667, mais cette fois-ci sans aucune maison, comme le précisaient très bien les études de notaire de 1658 (période très marquée par le début du règne du roi Louis XIV - de 1643 à 1715 -, et encore dominée par Anne d'Autriche et le cardinal Mazarin)...
    Voulez-vous un petit peu de réconfort ? Moi aussi, alors je vous offre cette toile d'Albert Marquet (1875-1947), qui concerne fort heureusement la période de 1910, un tout petit peu moins tragique (de 34 centimètres) que celle de 1658 :
    En voici même deux autres, qui concernent toujours Paris, mais furent heureusement peintes avant ce drame de 1910 :
    A part cela, comment ça va ? Et bien, je suppose, très bien… Vu qu'habitant dans le XVIIème, même au rez-de-chaussée, je n'ai quasiment aucune chance de voir un jour une inondation, et que jouissant depuis 2012 d'un fauteuil roulant m'interdisant presque totalement de sortir de chez moi, j'ai très peu de raisons de m'inquiéter de l'éventuel virus dont tout le monde parle, le Covid-19, qui menace quasiment d'atteindre sa troisième phase dans le monde entier !
    Donc, tout va bien… Et si en plus, vous daignez laisser un commentaire, ceci sera parfait !

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    dimanche, mai 08, 2011

    QUAI D'AUSTERLITZ

    Et oui, juste après le Jardin des Plantes !
    Vu que je devais retrouver ma sœur Valérie à la Cinémathèque vers 17h, sans même commencer à traverser le tout premier pont, celui d'Austerlitz :
    Et bien voilà, je me suis fait du coup l'intégrale du quai d'Austerlitz lors de ce temps sublime, avec bien sûr la fameuse gare de ce même nom :
    Mais bien sûr, de l'autre côté, la probablement plus belle gare de tout Paris, celle de Lyon, de mon propre point de vue (même si malheureusement très récemment encombrée de 712 immeubles ultra contemporains, n'est-ce pas) ?
    Enfin bref, je me suis fait tout le quai d'Austerlitz à pied, avec de prime abord cette vision sur un très étonnant immeuble contemporain assez réussi :
    Et par contre, sur ce tout nouveau lieu qui va bientôt s'intituler le musée de la Mode, probablement dirigé par la fameuse DAC de Paris, avec des couleurs pratiquement aussi consternantes que celles de nos nouvelles affiches, comme vous le savez sans doute !
    Bon, moi, de mon côté, je déteste généralement les tags dans tous les sens, inutile de le dire : 
    Et voilà, j'arrive à ce fameux Pont de Bercy, donnant accès au très gentil Ministère des Finances (où ceci m'a relativement halluciné de voir leur énorme piste d'atterrissage d'hélicoptère, ce qui est logique dans les hôpitaux, mais pas spécialement ici, non ?) :
    L'un des rarissimes ponts de Paris où les métros ont la possibilité de traverser, mais oui :
    Tout ceci pour arriver enfin au fameux Parc de Bercy, n'est-ce pas ?
    Allez, une dernière petite photo du métro :
    Attention, mon prochain article va enfin être au sujet de la Maison de Balzac, devant laquelle je passe au moins deux fois par semaine depuis une dizaine d'années, et (honte sur moi !) que je n'avais jamais encore visitée réellement, snif...

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    lundi, décembre 20, 2010

    L'ÎLE DE LA CITÉ

    L'un des plus beaux lieux de Paris, c'est clair !
    Comme je devais absolument me trouver à l'église de Saint-Louis en l'Île à 16h30 ce dimanche pour un concert fabuleux, entre autres sur les grandes orgues dont j'ai déjà parlé ici, je m'y suis en partie rendu tout seul en métro, mais fort heureusement, la descente à la station Châtelet m'a tout de même permis une bonne petite demi-heure de marche, même si le premier monument à admirer ne s'avère pas du tout fort drôle, comme chacun sait :
    Il s'agit bien sûr de la sinistre Conciergerie (surtout si vous visitez ses vrais cachots), la prison où fut entre autres détenue la pauvre Marie-Antoinette, la femme de Louis XVI, magnifiquement imagée dans ce superbe film de Sofia Coppola :
    Sous un ciel aussi sombre, tout juste si ceci n'annonçait pas déjà la guillotine :
    Même si boulevard du Palais se trouve en contrepartie la plus belle horloge de notre capitale, datant de 1585 et visiblement en cours de réfection :
    Fort heureusement, quelques minutes plus tard, la très fameuse Cathédrale de Notre-Dame nous remet tout de suite du baume au cœur, tellement elle se révèle sublime :
    Surtout compte tenu du plutôt grand sapin de Noël élevé à sa base :
    Sans parler du fait qu'à la suite d'une matinée sous la neige, d'un début d'après-midi tout d'abord pluvieux, puis très couvert, le temps s'est d'un seul coup converti à la plus grande pureté vers 16h :
    En passant sur le côté Nord, petite anecdote au passage : l'une de ces fameuses gargouilles prise au zoom, encore en train de recracher toute la pluie de l'après-midi !
    Suite à quoi me voici enfin complètement rendu à l'Est de l'île, où je trouve depuis très longtemps la vision de cette célèbre Cathédrale encore plus géniale et impressionnante :
    Alors attention aux photos suivantes, que je trouve particulièrement séduisantes, bien sûr moins grâce à moi qu'à la beauté spontanée du coucher de soleil, et à mon fameux NIKON, que j'adore toujours autant... En traversant tout d'abord le fameux pont Saint-Louis, qui va très vite nous mener à l'île du même nom :
    Une vue face Nord, avec à gauche le très vaste Hôtel de Ville, et à droite l'église Saint-Gervais :
    Plus la combinaison des deux :
    Allez, pour finir... Deux vues très jolies sur le pont encore enneigé, le fameux Panthéon, et la très laide tour Montparnasse, qui gâche tout :
    Sympathique, tout ceci, n'est-ce pas ?
    Sans compter que j'ai pu cette fois-ci non seulement réussir de très belles photos des grandes orgues de l'église Saint-Louis en l'Île et de sa tribune, mais que j'ai pu photographier quelques-uns de ses 3000 tuyaux - un article que je viens tout juste de sortir, et va vous montrer quelque chose que vous n'avez très sûrement jamais pu voir ailleurs !

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