L'INDEX DE TOUTES LES RUES ET ARRONDISSEMENTS :
  • C'EST ICI !
  • POUR EN REVENIR À L'ORIGINAL :
  • C'EST LÀ !

  • dimanche, mai 08, 2011

    QUAI D'AUSTERLITZ

    Et oui, juste après le Jardin des Plantes !
    Vu que je devais retrouver ma sœur Valérie à la Cinémathèque vers 17h, sans même commencer à traverser le tout premier pont, celui d'Austerlitz :
    Et bien voilà, je me suis fait du coup l'intégrale du quai d'Austerlitz lors de ce temps sublime, avec bien sûr la fameuse gare de ce même nom :
    Mais bien sûr, de l'autre côté, la probablement plus belle gare de tout Paris, celle de Lyon, de mon propre point de vue (même si malheureusement très récemment encombrée de 712 immeubles ultra contemporains, n'est-ce pas) ?
    Enfin bref, je me suis fait tout le quai d'Austerlitz à pied, avec de prime abord cette vision sur un très étonnant immeuble contemporain assez réussi :
    Et par contre, sur ce tout nouveau lieu qui va bientôt s'intituler le musée de la Mode, probablement dirigé par la fameuse DAC de Paris, avec des couleurs pratiquement aussi consternantes que celles de nos nouvelles affiches, comme vous le savez sans doute !
    Bon, moi, de mon côté, je déteste généralement les tags dans tous les sens, inutile de le dire : 
    Et voilà, j'arrive à ce fameux Pont de Bercy, donnant accès au très gentil Ministère des Finances (où ceci m'a relativement halluciné de voir leur énorme piste d'atterrissage d'hélicoptère, ce qui est logique dans les hôpitaux, mais pas spécialement ici, non ?) :
    L'un des rarissimes ponts de Paris où les métros ont la possibilité de traverser, mais oui :
    Tout ceci pour arriver enfin au fameux Parc de Bercy, n'est-ce pas ?
    Allez, une dernière petite photo du métro :
    Attention, mon prochain article va enfin être au sujet de la Maison de Balzac, devant laquelle je passe au moins deux fois par semaine depuis une dizaine d'années, et (honte sur moi !) que je n'avais jamais encore visitée réellement, snif...

    Libellés : , , , , , , , , , ,

    dimanche, avril 03, 2011

    RUE DE L'ASSOMPTION

    Une assez longue rue du XVIème...
    Dont bien sûr je connaissais le tout début depuis très longtemps, juste à côté de mon conservatoire, mais que je n'avais jamais remontée en entier ! Sauf que ce samedi, j'ai terminé mes cours assez tôt, alors j'ai décidé de me faire une grosse randonnée de quasiment deux heures pour rentrer chez moi, malgré la chaleur déjà presque insupportable de mon point de vue (25°C !) :
    Juste en face de ce célèbre restaurant japonais se trouve étrangement une très jolie maison russe (si je ne me trompe pas), dont ma toute première photo semble me rappeler le site de Sheily, en partie grâce à cette sorte d'architecture involontaire sur le mur de gauche, qui semble représenter les deux jambes de quelqu'un :
    Quoiqu'il en soit, ceci ne me déplairait guère d'habiter une telle maison, où l'on peut du coup jouer du piano toute la nuit :
    Quelques mètres plus loin, sur l'autre trottoir, un immeuble assez banal (N°5), mais dont la porte est absolument magnifique, entièrement en mosaïques :
    Un tout petit peu plus haut (N°17), la Maison Mère et la Chapelle des Religieuses de l'Assomption, un bâtiment en revanche tellement laid qu'il ressemble quasiment à un entrepôt industriel !
    Et encore plus haut (au N°18), un immeuble de nouveau surprenant, non tant grâce à ses très jolies fenêtres du premier étage :
    Qu'en vertu de sa très étonnante sculpture verticale, qui à mon sens représente le Dieu grec Bacchus, fort digne des vignobles dont le XVIème fut autrefois énormément pourvu !

    Par la suite, de nouveaux de très jolies maisons, cachées par de fort grands arbres :

    Mais hélas suivies par ce qui me semble être une immense prison :
    Qui non seulement n'en est pas une, mais fait en outre partie des lycées considérés comme l'un des cinq meilleurs de tout Paris, en l'occurrence la fameux Lycée Molière !
    Toujours plus haut, un immeuble de nouveau plutôt étrange, entièrement peint en rose :
    Et comme très souvent dans le XVIème, quelques minuscules voies privées autour du N°52 :

    Tout ceci avant d'arriver juste au Nord devant la fameuse Notre-Dame de l'Assomption, qui se trouve donc à l'origine du nom de cette rue :

    Certes, c'était un samedi... Avec bien sûr la Vierge au tout premier plan, mais en prime un grand mariage tout au fond !

    Cet église est plutôt jolie à voir de l'extérieur... Mais comme beaucoup des églises du XVIème, Notre Dame de l'Assomption n'offre pratiquement aucune œuvre d'Art à l'intérieur, sans même parler de son orgue, digne de l'Italie avec son absence totale de buffet (rarissime en France, d'une façon fort heureuse !) :

    Unique exception... Sa coupole elle aussi assez proche du style italien (dans le bon sens), et que j'ai trouvé plutôt jolie :


    Ultime vue de la face Nord :

    Suite à quoi je vais consacrer le reste de ma balade au très méconnu boulevard Beauséjour... Article à venir très bientôt !

    Libellés : , , , , , , , , , , ,

    vendredi, janvier 21, 2011

    RUE DE PRONY

    Un magnifique dimanche, ce seize janvier !
    Du coup, levé pour une fois très tôt, j'ai décidé de ne pas commencer ma journée assis au piano, mais tout simplement en m'offrant une jolie promenade dans le coin, en commençant tout d'abord par la très peu fréquentée rue Ampère, jusqu'à atteindre la fameuse place Pereire, avec son ancienne gare - désormais convertie au RER C :
    Juste en face de l'un de ces célèbres restaurants, certes guère à mon goût (vu que je ne raffole pas de la viande), mais faisant tout de même allusion à l'une de mes marques préférées de sneakers, les fameuses Buffalo :
    Bref, le temps était sublime ! Pas un seul nuage, et en prime une température frôlant les 14°C, de sorte que j'étais encore une fois en pantacourt et en T-Shirt :
    Que dire d'autre au sujet de la place Pereire ? Et bien tout d'abord, une petite voiture de danseuse, je suppose, d'une couleur digne des nouvelles affiches de nos Conservatoires, désormais d'un mauvais goût absolu, comme chacun sait :
    Juste histoire de compenser, le fameux restaurant Dessirier (vu que j'adore le poisson & les crustacés), dû à Michel Rostang :
    Un peu plus loin, un hommage à deux des plus grands créateurs de ce quartier :
    Ainsi qu'un autre, concernant le Corps Expéditionnaire Français d'Italie, dirigé par le Maréchal Juin, et depuis 1973 le nouveau nom de cette place (que néanmoins la plupart des gens nomment toujours place Pereire) :
    Une très jolie pharmacie, datant probablement encore du XIXème siècle :
    Et voilà, une fois fait le tour, me voici enfin tout au début du titre de cet article, la rue de Prony, menant de cette place Pereire jusqu'au fameux parc Monceau, vaguement visible tout au fond si vous cliquez sur la photo :
    Je commence par le N°101, où se situaient de nouveau trois statues de satyres (très fréquentes dans le XVIIème, tout comme celles dont j'ai très récemment parlé rue du Général Foy) :
    Certes, il n'y a pas que des immeubles Haussmann dans cette rue, comme par exemple celui-ci du N°94, forcément très lumineux ce dimanche :
    Mais ceci reste tout de même la grande majorité, comme l'indique au passage l'une de ces fameuses plaques :
    Ceci dit, il y a presque toujours dans le XVIIème (comme d'ailleurs dans le XVIème) une ou deux exceptions dans ce style de rue, dues généralement à des architectes des années 1960, tellement fiers d'eux-mêmes qu'ils omettent habituellement de signer leurs immondes bâtiments :
    La Poste est, elle aussi, d'un style plus moderne que les immeubles Haussmann, mais néanmoins avec son propre charme - si vous êtes d'accord avec moi :
    Arrivé presque à la moitié de la rue, je croise bien sûr mon habituelle avenue de Wagram, avec ce jour-ci une vue sublime sur le fameux Arc de Triomphe, et pour une fois quasiment aucune voiture :
    Plus un bel hôtel particulier au N°67, que certes je m'offrirais d'emblée, si je gagnais aussi bien ma vie que Mylène Farmer en utilisant aussi peu d'accords !
    Avec exactement en face, au N°60, cet étonnant immeuble Haussmann revêtu de trois nouveaux étages contemporains :
    Juste après, la toute petite et très harmonieuse rue Meissonier, menant directement à la place du Général Catroux :
    Et pour finir, juste au passage, le dernier immeuble lamentable des années 1960 au N°44 :
    Tout ceci juste avant de se rendre à la plus magnifique section de la rue de Prony, celle menant du N°41 jusqu'au parc Monceau, à commencer par cette somptueuse maison privée au coin de la rue Fortuny :
    Celle du très fameux auteur dramatique Edmond Rostand (1868-1918), créateur de l'inoubliable Cyrano de Bergerac :
    Vue d'ensemble sur cette sublime section, où ne figurent pratiquement que de vastes hôtels particuliers, meilleure preuve :
    Dont celui-ci, ayant appartenu à l'oublié Jacques Rouché (1862-1957), le richissime directeur de l'Opéra de Paris, suffisamment doué pour avoir toute sa vie envoyé chier Erik Satie (1866-1925), dont par contre tout le monde se souvient de nos jours (bien qu'il soit mort dans la misère la plus absolue) :
    Hôtel encore plus sublime juste en face :
    Ainsi que l'un des derniers juste avant d'arriver au parc :
    Un lieu d'ambassade dont vous allez bien sûr tout de suite identifier le pays, je suppose :
    Et voilà ! Certes, ma promenade de presque deux heures n'est pas du tout terminée... Mais bon, pour l'instant, j'interromps cet article ici, quitte à en faire bientôt un second sur le fameux parc Monceau, où le printemps commence curieusement déjà presque à se montrer :
    Juste histoire d'être précis, j'avais déjà publié pas mal de textes & de photos concernant ces deux endroits fort proches de chez moi, à commencer par trois articles sur la rue Ampère :
    1) Rue Ampère N°1
    2) Rue Ampère N°2
    3) Rue Ampère N°4 (article dédié au cinéma !)

    Libellés : , , , , , , , , , , , ,