LES RUES ET L'ARCHITECTURE DE TOUS LES ARRONDISSEMENTS :
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  • lundi, décembre 01, 2025

    PARC MONCEAU

    (17/07/2007)
    L'un des plus beaux de Paris, mais oui !
    Petit détail du parcours : comme d'habitude, je suis parti de chez moi, la somptueuse rue Jouffroy d'Abbans (qui, à mon humble avis, mériterait au moins le qualificatif de boulevard, sinon d'avenue), pour passer encore une fois de plus devant mon lieu de travail habituel, l'ENMDP, laquelle jouxte la très fameuse salle Cortot (rue Cardinet), célèbre non seulement pour son acoustique irréprochable, mais aussi pour son architecte bien connu, Auguste Perret (1874-1954), le créateur du Théâtre des Champs-Elysées :
    Un peu plus loin dans cette même rue Cardinet, l'également fameux lycée Carnot (pourquoi font-ils toujours en sorte que ces bâtiments ressemblent à des prisons, grand mystère ?) :
    Au croisement de l'avenue de Villiers (au numéro 43, pour être exact), le très méconnu Musée Jean-Jacques Henner, si méconnu qu'il faut même y actionner une petite sonnette pour se faire ouvrir la porte, tant le nombre des visiteurs y est restreint :
    Ceci dit, c'est la classe ! Non pas tant pour ses œuvres à lui, assez proches de celles de Gustave Moreau (la folie en moins), mais surtout pour l'architecture incroyable du lieu - notamment les Moucharabieh du dernier étage, le genre de "caprices" que l'on pouvait apparemment encore s'offrir à la fin du XIXème siècle. Et si vous ne savez pas à quoi peut bien ressembler la peinture de Jean-Jacques Henner, je vous en montre un petit exemplaire que vous n'aurez absolument pas la moindre chance de voir ailleurs :
    Pour la bonne raison qu'entre autres, ce petit tableau ornait - en toute simplicité - le minuscule appartement de 300 m2 que l'on m'avait gentiment prêté lors de ma visite à Beyrouth en 2005 !
    Mais bon. Revenons à nos moutons, comme on dit... Pile-poil à l'entrée du parc Monceau (je parle bien sûr de la "vraie" entrée, celle du boulevard de Courcelles), de nouveau une jolie petite station dans le style Guimard :
    Et bien sûr l'inévitable rotonde de Claude-Nicolas Ledoux (1736-1806), non pas qu'il s'agisse d'un chef-d'œuvre absolu, mais je dis juste "inévitable" parce que c'est un "païsse" à moi, natif du Doubs comme feu ma mère, département où il faut bien sûr absolument visiter les Salines Royales d'Arc-et-Senans, très proches, déjà, d'une utopie à la Fourier ou à la Proudhon :
    Alors bon, maintenant, je suis dans le parc ! Et la première chose sur laquelle je tombe, c'est bien sûr la très fameuse "naumachie" :
    J'adore utiliser, comme ça, de temps en temps, des mots que personne ne comprend (pour la bonne raison, du reste, que je ne les comprenais pas moi-même, il n'y a pas si longtemps)...
    Une chose assez agréable, lorsqu'on se balade dans ce parc sublimement "romantique" (mais oui, c'est même une sorte de prototype, dans le genre !), c'est qu'il y a en plus trois musées dans un rayon de dix minutes, et pas des plus inintéressants, dans le genre (outre celui mentionné ci-dessus), à commencer par le Musée Cernuschi, dont les collections d'Art oriental pourraient presque faire pâlir le célébrissime Musée Guimet :
    Pour poursuivre avec le presque voisin Musée Nissim de Camondo, entièrement dédié aux Arts Décoratifs, avec, notamment, l'un des chefs-d'œuvre de l'ébéniste Riesener (1808-1878), sans compter quelques Guardi et quelques Chardin qui, n'est-ce pas, valent toujours le détour :
    Ces trois musées ont également trois points communs : ils ne sont pas très chers, ils ne sont absolument pas fatigants comme le Louvre, et surtout : on n'y croise quasiment jamais personne, ce qui est idéal pour se sentir revivre, au moins pour un temps, la vie des gens qui possédaient autrefois ces somptueuses bâtisses !
    Enfin bref, trêve de digression... Une chose qu'il faut savoir, dans ce parc ancestral, c'est qu'à peu près tout est "faux" (c'est ce qu'on appelait, à l'époque, des "fabriques")... Qu'il s'agisse d'un arc de triomphe romain :
    De fausses ruines :
    D'une pyramides précolombienne :
    Ou encore de colonnes grecques :
    Bref, tout est faux ! Les seules choses authentiques, ce sont ces petites fontaines ma foi bien sympathiques (et qui, hélas, ont tendance à disparaître de nos jardins publics) :
    Ainsi que cette lanterne, offerte à Jacques Chirac par le maire de Tôkyô, et qui date tout de même de 1786 (créée pour le dixième Shôgun - 将軍 - Ieharu) :
    Bien sûr, un vrai parc "romantique" ne serait pas complet sans son habituel défilé de statues (que selon moi, il vaut toujours mieux apprécier la nuit, avec une jolie pleine lune), certaines anonymes :
    D'autres dédicacées, notamment celle du dramaturge (un peu oublié, de nos jours, certes) Edouard Pailleron (1834-1899) :
    Et surtout, la statue de notre grand Frédéric, mais oui, le seul, l'unique, Chopin (1810-1849), bien sûr :
    Remarquons tout de même, au passage, qu'il y a à Paris des gens qui ne doivent pas être trop gênés, côté "finances" (vue imprenable sur le parc Monceau, et jardin privatif en plus, à vue de nez, je dirais comme ça, une petite vingtaine de millions !) :
    Sans même parler de cette maison (château ?), que j'ai toujours considérée comme la plus belle de tout le parc (si je gagne les 54 millions du Loto vendredi, je l'achète le lendemain et je vous invite tous, caviar et Château Pétrus, promis !) :
    Mais bon, soyons sérieux ! Les vrais "habitants" de ce parc, ce sont surtout ceux qui y sont depuis sa naissance en 1778 (soit 229 ans !), et qui y seront encore sûrement après notre mort, les arbres :
    Et notamment ce chêne impressionnant (le plus vieil arbre du parc, je pense), dont le tronc doit faire au bas mot deux mètres de diamètre, et les branches pas loin d'une bonne dizaine :
    Sans oublier nos amies les fleurs, qui bien sûr, en cette saison, sont particulièrement bien mises en valeur par nos bons jardiniers de la Ville de Paris :
    Voilà, c'est fini ! Sur le chemin du retour, j'en ai tout de même profité pour vous faire découvrir quelques petites ou grandes célébrités de mon quartier (même si, cartographie oblige, il se trouve que le parc Monceau est en réalité dans le VIIIème, et non pas dans le XVIIème, comme je le croyais naïvement... Autant pour moi !), à commencer par le modeste hôtel particulier (32, rue de Prony) de "Monsieur" Jacques Rouché, directeur de l'Opéra dans les premières années du vingtième siècle (selon Erik Satie, un "veau", j'ai confiance, donc...) :
    Une autre plaque, que je ne connaissais pas et qui m'a bien fait rire ("jaune", cependant), c'est celle-ci, 72, rue Cardinet :
    "Pour l'amélioration du sort de la femme"... C'est comme s'il s'agissait presque là d'une "espèce" différente, un peu dans le genre amélioration de la race chevaline, quoi, en tout cas, pas si loin... Bref, on se demande bien pourquoi tout le monde (ou presque) a oublié cette fameuse Maria Deraismes (1828-1894), vu qu'elle a joué un rôle apparemment très important et très fondateur dans le combat pour l'émancipation de la femme.
    Histoire de réconcilier tout le monde, une plaque commémorative qui ne s'oublie pas, tout de même (58, rue Cardinet) :
    Et pour finir pour de bon, le fameux mot presque aussi rarissime que le mot "naumachie" au début de cet article (12, rue de Prony) :
    Pour situer, je crois bien que c'est un mot que j'ai découvert pour la première fois dans le sublimissime Ulysse de James Joyce (1882-1941), peut-être le plus grand roman jamais écrit au monde, comme chacun sait. Si mes souvenirs sont bons, il me semble que, périodiquement, l'un des personnages tend ostensiblement sa carte de visite, qui dit en substance quelque chose du genre : "spécialiste en épizooties", et je me souviens qu'à l'époque, ça m'avait suffisamment intrigué pour que je me précipite sur mon Larousse !
    Et maintenant, c'est fini pour de bon, les belles plaques commémoratives, et tout et tout... Regardez-moi ça :
    Mais oui ! Dans MON quartier à MOI, non mais... Où va-t-on, je vous le demande ?

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    mardi, septembre 10, 2019

    MES CENT ANS !

    Mais non...
    Bien sûr que je ne fête pas mes vrais cent ans, XD !
    N'empêche que je fête aujourd'hui le centième article de ce site créé en 2007, et que mine de rien, même si je passe en général une ou deux heures à en écrire le moindre de ses sujets, ceci me prend toujours un très grand plaisir de le réaliser, étant donné que cela m'oblige à marcher à pied dans Paris entre une et quatre heures par jour.
    Alors bon... Juste histoire de rigoler un peu, petit historique avec les plus énormes commentaires laissés depuis 2007 !
    1) L'article le plus lu d'entre tous : celui concernant l'intérieur du fameux Castel Béranger, à lire ici, avec près de 40 commentaires !
    2) L'article que j'ai publié en passant Noël Avenue des Champs-Élysées (36 commentaires) :
    3) L'article concernant la sublime école où j'ai la très grande chance d'enseigner depuis 1986 (17 commentaires) :
    4) L'article parlant du très génial Grand-Orgue de Saint-Louis en l'Île, joué d'une façon absolument magistrale par mon ami Vincent Rigot (là aussi, 17 commentaires) :
    5) Par la suite, un record absolument battu par les très grands amateurs culinaires (16 commenairets) :
    6) Même chose avec les 15 commentaires au sujet de cet autre restaurant du 75017 :
    7) Mais pour finir, un assez bon score au sujet de la très célèbre rue des Francs Bourgeois (15 commentaires) :
    8) Et bien sûr au sujet de ma très longue marche traversant quasiment tout Paris en 2008 (14 commentaires) :
    Pour être tout à fait exact, ce site n'est pas encore tout à fait équilibré, notamment concernant les différents arrondissements de notre ville...
    Entre autres : pour l'instant, une quarantaine d'articles sur le XVIIème (où j'habite), une trentaine sur le XVIème (où je travaille), plus une petite vingtaine sur le VIIIème (que je traverse très souvent, pour me rendre de l'un à l'autre), et ensuite, seulement une petite dizaine sur le IVème (mais je vais tenter de me rattraper) !
    Sans parler du XIème, du XIXème et du XXème, au sujet desquels je n'ai pour l'instant publié encore aucun article...
    J'aime beaucoup marcher, j'adore Paris, et je suis en prime très scotché à ce site, que j'aime énormément réaliser !
    Merci beaucoup à vous toutes (essentiellement) et à vous tous qui laissez de temps en temps des commentaires, car ceci fait toujours un immense plaisir...

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    dimanche, septembre 01, 2019

    LA LONGUE MARCHE...

    Du président Mao ?
    Bien sûr que non... Mais après une quinzaine très bien remplie dans les Hautes Alpes, je ne supportais plus de rester enfermé chez moi ou de prendre les transports en commun. Du coup, étant invité ce mardi chez de bons amis habitant le XIIème arrondissement, j'ai décidé, vu la clémence du temps et la beauté de la lumière, de me faire une bonne partie du chemin à pied, et je dois bien dire que je ne l'ai absolument pas regretté...
    Départ vers 19h depuis l'endroit où j'ai la chance d'enseigner, l'École Normale de Musique de Paris, plutôt soignée, comme architecture (et encore, vous ne connaissez sûrement pas l'intérieur) :
    Continuation logique par la place du Général Catroux (ex-place Malesherbes), où l'on peut tout à la fois admirer plusieurs statues dédiées à la famille Dumas :
    Ainsi que l'une de ces fabuleuses folies, dont certaines personnes pouvaient autrefois s'offrir le luxe de se les faire bâtir dans la plaine Monceau, en l'occurrence l'hôtel Gaillard, inspiré des châteaux de Blois et de Gien, aujourd'hui siège de la Banque de France depuis 1919 :
    Notez bien qu'aucun petit détail n'a été laissé au hasard :
    Un tout petit peu plus loin, à la jonction avec le boulevard de Courcelles, un autre bel hôtel particulier, aujourd'hui converti en ambassade, dont vous aurez sans doute tout comme moi du mal à identifier le drapeau :
    En tout cas, cet hôtel est cher à mon cœur, pour la raison suivante, bien évidente  :
    Bien qu'il ne soit pas tant que cela connu du grand public, il est néanmoins l'auteur d'œuvres absolument merveilleuses, et si je ne devais vous en conseiller que deux, ce serait le Poème pour Violon et Orchestre et le Poème de l'Amour et de la Mer... Et pour mettre fin au suspense précédent : il s'agissait de l'ambassade de Lituanie !
    Toujours en descendant le très long boulevard Malesherbes, un petit aperçu sur l'une des entrée du fabuleux parc Monceau (l'avenue Velasquez, qui mène en outre au peu connu musée Cernuschi) :
    Pour enfin arriver, à mi-chemin dudit boulevard, à cette gigantesque église totalement kitsch, Saint-Augustin :
    Très inspirée du style byzantin :
    Et curieusement édifiée entre 1860 et 1871 par Victor Ballard, autrement dit l'architecte des anciennes Halles (pour ceux qui se souviennent encore de cet édifice) :
    Juste en face du tout aussi monumental Cercle des Armées :
    Avant d'arriver, en guise de conclusion au boulevard Malesherbes, à la très fameuse église de la Madeleine, dans le plus pur style napoléonien, et qui même (le saviez-vous ?), faillit devenir une gare sous le règne de Louis-Philippe :
    Bon. Rue Royale, nous pénétrons désormais dans l'un des quartiers les plus pauvres de Paris (XD !), bien connu pour ses petites enclaves (Village Royal, entre autres) :
    Ainsi que certaines boutiques parmi les moins coûteuses de la capitale, comme chacun sait :
    De sorte que certains vendeurs (je ne citerai personne) préfèrent se la jouer bien paranoïaque, et retirer dès 19h leurs petites babioles bon marché :
    Un tout petit point de vue sur l'un des restaurants les plus connus (et les plus surfaits) du monde :
    Ce qui ne saurait cependant masquer l'hallucinante beauté de l'harmonie architecturale de la rue Royale en elle-même :
    Léger prélude & introduction à ce qui est - à mon sens - probablement la plus belle place du monde, celle de la Concorde :
    Où l'on peut pratiquement jouir, d'un seul coup d'œil, d'une bonne moitié des monuments parisiens (le Louvre, la Chambre des Députés, les Invalides, la Tour Eiffel, le Grand Palais, etc... et j'en oublie probablement) :
    Dans un état lamentable il y a une dizaine d'années, cette place a heureusement été très récemment rénovée, qu'il s'agisse des statues d'angle - chacune dédiées à l'une des grandes villes de France :
    Ou encore des candélabres de style Empire, dont j'ai toujours adoré le design et les couleurs, personnellement :
    Bon. Si cet article vous fatigue, vous pouvez toujours marquer une petite pause sympathique en vous réservant une nuit pas chère à l'hôtel Crillon, juste à côté de l'ambassade de nos amis américains :
    Encore plus beau si possible que la rue Royale, la magistrale enfilade des arcades de la célébrissime rue de Rivoli :
    J'ai beau adorer la montagne, il faut tout de même bien admettre que, quitte à être contraint de vivre dans une grande ville, il serait tout de même plutôt difficile de trouver mieux que la nôtre. D'autant plus qu'au sein même de ces quartiers ultra friqués, on peut aussi de temps en temps tomber sur de très sympathiques boutiques, comme par exemple celle de Soisik, 238, rue de Rivoli, qui propose non seulement de la très jolie vaisselle, avec de belles incrustations de filets métalliques :
    Mais en outre de superbes customs de Converse, que vous ne verrez certainement pas aux pieds de tout le monde :
    Ceci dit, les prix n'étaient pas affichés, donc rien ne dit que ce soit spécialement bon marché, surtout au voisinage de la très célèbre place Vendôme :
    L'endroit de Paris où l'on s'approche tout de même des hôtels les plus luxueux du monde, à juste titre (le Meurice et le Brighton) :
    Sans même parler du fabuleux salon de thé Angélina, de réputation quasi mondiale, dont l'extérieur plutôt banal ne laisse hélas pas augurer de sa décoration intérieure très étonnante, même si plutôt dans le genre très kitsch, on va dire :
    Quoi qu'il en soit, une chose est sûre & certaine : si vous n'avez jamais bu un chocolat chaud chez Angélina, et bien... Vous n'avez jamais bu de chocolat chaud, en résumé !
    Autre chose assez surprenante tout au long de ces magnifiques arcades de la rue de Rivoli : c'est qu'il y a probablement dû y avoir au départ une sorte de cahier des charges relativement contraignant, vu que toutes les mosaïques se résument à ces deux seuls modèles imposés :
    Vingt heures : c'est ce moment magique où la lumière commence vraiment à se transformer, pour rendre Paris encore plus beau que Paris :
    Et alors là, je suis particulièrement content de ces deux photos de la statue de Jeanne d'Arc, située place des Pyramides, à tel point que je vous les ai à peine compressées :
    Peu après, l'inévitable Palais Royal, assez peu intéressant en lui-même, mais surtout pour ses jardins intérieurs :
    Début de siècle qui vaut d'ailleurs à ce quartier un assez grand nombre de stations de métro Guimard, comme il en subsiste assez peu à Paris, sinon dans le XVIème et le XVIIème :
    Un peu plus loin, cet endroit fabuleux :
    Où si vous jouissez de revenus, disons, d'environ 500000 Euros mensuels, vous pouvez vous offrir de très belles choses, parfois même meilleures qu'en face :
    Sachons - au passage - être narcissique quand il le faut... Une photo dont je suis très fier, mais dont vous ne sauriez apprécier tout le sel sans cliquer dessus pour l'agrandir :
    Plus guère de marche, désormais, jusqu'à la fin de ma soi-disant randonnée, mais cependant encore de très belles choses à voir, notamment l'Oratoire du Louvre :
    Saint-Germain l'Auxerrois, l'une des plus sublimes églises gothiques de Paris :
    Et alors là, très curieusement, c'est précisément à cet endroit précis que la très luxueuse rue de Rivoli se transforme d'un seul coup en une sorte de souk ultra commerçant, uniquement dédié aux marques hyper branchées :
    Ce qui, soit dit en passant, doit être relativement endémique, si l'on en juge par ces clichés :
    Enfin bon... Me voici enfin arrivé au bout de mon long périple, avec ce merveilleux monument, la tour Saint-Jacques, sorte d'énigme parisienne qui fascina toute sa vie André Breton, fantastique écrivain qui n'était tout de même pas la moitié d'un imbécile, vu qu'il était verseau ascendant balance, tout comme moi !
    Bref ! J'arrête de me la péter grave, là, pour conclure d'une part avec la nouvelle maison de Monsieur Delanoé (l'Hôtel de Ville) :
    Et donc : il ne faut jamais être impoli avec ses hôtes (surtout quand ils vous filent quasiment gratos des NIKON de folie, quoi)... Du coup, histoire d'arriver bien à l'heure, j'ai sauté dans un taxi dès que j'ai pu, ce qui m'a permis à l'arrache cette ultime photo de la grande bibliothèque :
    Et bien voilà, c'est terminé !
    Adoncques, voilà, je vais pour ma part faire pareil que les vainqueurs du tour de France : un grand merci à ma marque chérie Reebok Freestyle, pour m'avoir permis d'avoir accompli ce long périple en m'étant tout le temps senti parfaitement à l'aise :
    En plus : c'est jaune, c'est provocant, ça attire tous les regards, bref... J'adore, c'est géant !

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