RUE RAYNOUARD
Dans la soirée...
Désormais, l'un de mes parcours favoris pour aller de chez moi à mon lieu de travail, via l'itinéraire le plus élégant : rue Jouffroy d'Abbans, avenue de Wagram, rue Lauriston, avenue Raymond Poincaré, rue Benjamin Franklin et rue Raynouard, que pour la toute première fois aujourd'hui, j'ai réussi à faire en un peu moins de 45 minutes - à pied, bien sûr !
Alors cette fois-ci, pour le parcours retour, je vais vous la faire "légère", après le long article suivant sur la rue Lauriston... Tout d'abord, quelques très jolies plaques dans le bas de la rue :
Désormais, l'un de mes parcours favoris pour aller de chez moi à mon lieu de travail, via l'itinéraire le plus élégant : rue Jouffroy d'Abbans, avenue de Wagram, rue Lauriston, avenue Raymond Poincaré, rue Benjamin Franklin et rue Raynouard, que pour la toute première fois aujourd'hui, j'ai réussi à faire en un peu moins de 45 minutes - à pied, bien sûr !
Alors cette fois-ci, pour le parcours retour, je vais vous la faire "légère", après le long article suivant sur la rue Lauriston... Tout d'abord, quelques très jolies plaques dans le bas de la rue :
Puis, plus haut, au numéro 51, cet immeuble d'Auguste Perret que je n'aime pas du tout (même baigné par une belle lumière vespérale comme celle-ci) :
Mais qui apparemment jouit d'une grande réputation parmi les architectes :
Personnellement, je ne suis pas du tout convaincu par cet enthousiasme... Je pense même que si une machine à remonter le temps devait avoir la moindre utilité, ça serait avant tout de pouvoir permettre d'aller buter les deux personnes qui ont inventé le béton et le plastique !
Même si l'entrée s'orne de petits angelots plutôt sympathiques, qui détonnent néanmoins quelque peu avec le style plutôt glacial de l'ensemble (qui en outre aurait besoin d'un sacré ravalement !) :
Voilà... Comme le disaient les Shaddocks : "C'est tout pour aujourd'hui !" (N'oublions pas que la rue Raynouard est très courte).
Ah non, j'allais oublier la réponse au petit quizz de l'article précédent : quel écrivain a longtemps habité cette maison située au numéro 47 de cette même rue ?
Ah non, j'allais oublier la réponse au petit quizz de l'article précédent : quel écrivain a longtemps habité cette maison située au numéro 47 de cette même rue ?
Et oui, au moins une personne a trouvé : il s'agissait bien sûr de la maison d'Honoré de Balzac (1799-1850), pas trop mal située, on va dire, n'est-ce pas ?
Honte sur moi (je le confesse) : je passe devant au moins deux fois par semaine, et je n'ai toujours pas visité cet endroit qui, paraît-il, vaut vraiment le détour !
Alors bon : ce n'est pas tout à fait une promesse, mais j'essaierai tout de même de visiter ce musée après le 10 juin (calme plat à prévoir, niveau boulot), et surtout de VOUS le faire visiter !
Alors bon : ce n'est pas tout à fait une promesse, mais j'essaierai tout de même de visiter ce musée après le 10 juin (calme plat à prévoir, niveau boulot), et surtout de VOUS le faire visiter !
Libellés : Art Nouveau, Maisons d'écrivains, Paris, XVIème
8 commentaires:
Il va falloir investir dans un objectif à décentrement, c'est mieux, pour les photos d'archi !
Valérie
Bon. Il faut toujours écouter ma soeur, quand elle a quelque chose à dire (sauf que pour moi, c'était un peu du "chinois")... Je me suis donc renseigné auprès de Monsieur Google, où j'ai trouvé de très bonnes explications (illustrées) ICI, ce qui ne m'empêche néanmoins pas d'avoir ma propre opinion suir le sujet. Car effectivement, si les objectifs à décentrement peuvent certainement se révéler très utiles pour les éditeurs de cartes postales qui veulent absolument présenter un monument ou une cathédrale parfaitement rectilignes, pour ma part, les lignes de fuites (qui sont celles de l'oeil humain) ne me gênent absolument pas, et constituent même souvent, au contraire, une grande partie de la beauté d'une photographie...
Adoncques : non, je n'investirai pas dans un objectif à décentrement (objet qui, de plus, à l'air de coûter une véritable fortune, lol) !
Par contre, il est vrai que dans certain cas, ça ne me déplairait pas de disposer de l'un des dix exemplaires du fameux ZEISS à ouverture 0,7, conçu pour la NASA et utilisé ensuite par Kubrick pour Barry Lindon... Mais bon. Là, il faudrait que je vende mon appartement (et encore... pas sûr que ça suffise, XD) !!!
AAAAAAAAH avenue du colonnel bonnet j'ai une tres bonne amie qui y habite alors je situe bien les lieux =D
C'est sympas niveau architecture mais un peu mort comme coin !
C'est clair ! Même si plus haut, vers Passy, il y a des coins assez commerçants et animés, je confirme : la rue Raynouard est particulièrement "morte de chez morte" !!!
Bonjour,
je passais par là quand je suis tombée sur votre blog. Je vous avoue que je le trouve très amusant dans le genre, et qu'il donne envie d'aller gambader dans les rues de Paris.
Seulement, je tiens à signaler, mon avis sur Perret. Son batiment a certe mal vieilli, seulement, heureusement que ce monsieur était là pour révolutionner l'architecture. On ne peut rester à de la pure ornementation (par exemple l'art nouveau, que j'apprècie tout autant). Maintenant, nous utilisons un matériaux pratique, peu couteux, rapide, qui permet d'aller encore plus loin dans la création (sans oublier son ami l'acier, indisociable); je pense aux tours. (La tour montparnasse serait elle possible en pierre de taille?)
En vous remerciant de votre blog instructif et amusant!
Bonsoir oui en effet de bien jolies plaques de rue qu'on a eu le bon goût de ne pas supprimer...nous saurons plus tard si vous nous ferez visiter ce musée, si bien situé ...vous nous rendez vivante cette rue assez morne dans son genre.mervi Vincent passez un bon week-end 💕
Oui, je vous ai déjà fait visiter le musée, mais je vous redonne l'adresse ci-après :
https://vincentthe2.blogspot.com/2006/06/maison-de-balzac.html
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