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  • vendredi, mai 01, 2020

    11 MAI, AVANT...

    Comme date de fin du confinement, ou pas ?
    C'est un grand mystère, en tous cas... Le virus Covid-19 aura-t-il disparu à cette date-ci, officiellement donnée par le premier ministre Edouard Philippe ?
    Personne n'en sait rien, en fait, comme on peut le constater sur l'avenue des Champs-Elysées :
    C'est un tout petit peu plus bondé, non, d'habitude ?
    Pour en être sûr, je vais essayer d'aller à l'Opéra...
    Mais rien, comme les Champs-Elysées... Si je tentais alors de me rendre au Louvre ?
    Et bien non, toujours pareil... Faut-il aller jusque vers l'île du centre, pour finir ?
    Ah, grande surprise, il y a un peu plus de foule au pied de la cathédrale de Notre-Dame :
    Mais bon, il est tard, et il vaut mieux que je rentre en métro... S'il n'y avait pas autant de monde qu'aujourd'hui (c'est hallucinant, quand même !), ce serait presque agréable :
    Ce que j'en pense ? A peu près la même chose qu'elle, en fait, la fameuse stryge (ou chimère) de Notre-Dame...
    C'est très intéressant, comme article, n'est-ce pas ? J'espère bien en écrire un semblable d'ici peu !

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    jeudi, mai 19, 2011

    AVENUE MAC MAHON

    Fort connue, n'est-ce pas ?
    Mais en résumé très courte, se développant juste depuis la fameuse FNAC de l'avenue des Ternes jusqu'au très célèbre Arc de Triomphe :
    Bel immeuble, au tout début (N°24) :
    Guère plus loin, cette très étonnante minuscule maison, encadrée entre deux immenses bâtiments :
    Et juste après, cette splendide crèche quasiment digne d'une maison suisse, dont l'entrée se situe en réalité derrière, 21, rue de l'Étoile :
    Je cite le nom de l'architecte (vu que contrairement à ce qui se passe de nos jours depuis 1980, les responsables de très beaux immeubles osaient autrefois - à juste titre - signer concrètement de leurs vrais noms !) :
    Petit détail très amusant, que je constate également fort souvent rue Jean de la Fontaine dans le XVIème... Normalement, quand les rues sont en descente, il n'y a quasiment plus aucun Velib' à louer ! Mais sur ces toutes ces voies montantes (pourtant sur à peine 50m de dénivelé), et bien il en reste toujours une bonne cinquantaine :
    Bref ! Peu après, toujours en remontant à pied, je parviens au croisement avec la minuscule rue Brey sur ce très sympathique troquet nommé Yuppies Café, où l'on a d'un seul coup l'impression de se retrouver en pleine campagne, n'est-ce pas ?
    Bien que juste en face, via la rue du Général Lanrezac, se situe cet immeuble probablement des années 1960-1970, très étrange, et que je n'ai pas du tout aimé :
    Enfin bon, juste 500 petits mètres de marche jusqu'au fameux Arc de Triomphe, à droite duquel se devine un autre célèbre monument, hélas invisible jusqu'au dernier moment lorsque l'on remonte par contre l'avenue de Wagram :
    Et voilà, je commence à redescendre cette même avenue de l'autre côté, non sans avoir cependant vu au passage cette sublime Ambassade de la Belgique (comme quoi les gens qui prennent tous les belges pour de "gros cons" doivent vaguement se tromper, quelque part...) :
    Début de la descente avec ce très joli N°1, bis :
    Mais surtout avec ce cinéma mythique, devant lequel je n'avais pas dû repasser depuis 712 ans, et qui m'est subitement revenu en mémoire, pour une raison que je vous livrerai à la fin :
    Un peu plus bas, obligatoire dans le XVIIème,, un immeuble très laid :
    Mais aussi, juste à côté, un autre absolument superbe :
    Et enfin arrivé au N°29, une construction totalement hallucinante, n'est-ce pas ?
    Vu du bas comme du haut, tout est totalement déjanté, certes, mais je trouve cet immeuble absolument génial :
    Et devinez à qui il appartient ?
    Mais oui ! Et juste un tout petit peu en-dessous, un minuscule petit passage doté d'un immense hôtel particulier, avec ce très étrange portail, et aussi ce tout petit escalier fort mignon :
    Et bien sûr cet inoubliable nom :
    Et voilà, retour à la case départ, comme quoi se trouve finalement terminée ma toute petite promenade de ce très chaud mardi :
    Avec tout de même au passage un petit hommage à Paris sur les Murs, avec ma photo de ce tag juste devant la FNAC :
    P.S : Et voici la description promise de my sister Valérie, au sujet du fameux cinéma Mac Mahon dont je viens tout juste de causer : "Ouvert en 1938, le cinéma Mac-Mahon est, depuis plus de soixante ans, l'un des haut-lieux de la cinéphilie parisienne et l'une des plus célèbres salles de répertoire...
    Les Parisiens y découvrirent à la Libération tous les films américains dont ils avaient été privés pendant l'Occupation et qui firent la réputation de cette salle...
    Le cinéma fut ensuite le repaire des fameux "Mac-Mahoniens", cette bande de cinéphiles enragés qui dictèrent leur goût impitoyable pour un certain cinéma dont la perfection était symbolisée par quatre cinéastes cultes rassemblés dans un "Carré d'As" : Raoul Walsh, Otto Preminger, Joseph Losey et Fritz Lang... Le Mac-Mahon pèsera lourd dans tous les mouvements de la cinéphilie française, la création des Cahiers du cinéma et d'autres revues, ou encore l'émergence de la Nouvelle Vague. C'est ainsi que le film culte de cette période (A Bout de Souffle), sera tourné au Mac-Mahon par Jean-Luc Godard, assisté de Claude Chabrol, sur une idée de François Truffaut...
    Durant les années soixante, le cinéma américain continuera de faire les beaux jours du fameux Mac-Mahon et triomphera avec ses comédies musicales...
    Le groupe Bolloré a décidé, en 2000, de reprendre le Mac-Mahon et d'y faire d'importants travaux qui lui ont permis de retrouver son lustre d'antan...
    Aujourd'hui, le Mac-Mahon se partage entre la programmation de grands films du répertoire et de l'organisation d'avant-premières, de rencontres et de débats...
    À l'heure des méga-complexes et des concentrations cinématographiques, la petite salle de la place de l'Étoile semble faire sienne la célèbre phrase du maréchal dont elle porte le nom : "J'y suis, j'y reste !"...

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    vendredi, novembre 05, 2010

    RUE GALILÉE

    Et voilà, mon site revit enfin !
    En recommençant aujourd'hui avec la petite rue Galilée, située entre les Champs-Élysées et l'avenue Kléber, que je me suis tapée ce très bel après-midi, avec une météo du mois de novembre toujours digne de celle de l'été :
    Incroyable, n'est-ce pas ?
    Tout en haut des Champs-Élysées, il y avait du reste un jeune homme, non pas en train de se frigorifier, vu son attitude, mais en train de danser le rap :
    Un tout petit peu de descente, et voici qu'à peine en dessous du très fameux Drugstore Publicis, commence tout de suite la jolie rue Galilée, avec d'emblée un très bel immeuble, juste au coin :
    Suivi par cet autre assez classe, au croisement avec la rue Vernet :
    Ainsi que par le célèbre Hôtel Amarante :
    Que j'ai pris beaucoup trop en débullé, mais bon, désolé... Je me suis vite rattrapé :
    Tout ceci pour continuer par de superbes hôtels particuliers, déjà au N°61 :
    Mais encore plus bas lors du croisement avec l'avenue d'Iéna, du reste dans un style assez proche du fameux musée Guimet de cette même grande avenue :
    Et ceci ne s'arrête jamais :
    Y compris avec les jolies cariatides du N°30 :
    Après quoi nous trouverons un fameux consulat - ce qui est très fréquent dans ces deux quartiers "pauvres" de Paris, le VIIIème et le XVIème :
    Sauf qu'ici, il n'y a pas que la Grèce, mais aussi la Chypre, si l'on prends le temps de monter au premier étage !
    Encore un très bel hôtel particulier au N°19 :
    Juste avant d'arriver sur celui-ci encore beaucoup plus énorme, situé sur la petite place des Etats-Unis :
    Place en outre accompagnée d'un fort joli jardin, avec, bien sûr, la statue de Lafayette et de Washington (qui se trouvent sûrement très bien à leur place) :
    Et pour finir, juste avant de rejoindre l'avenue Kléber, cet immeuble mythique :
    Un immeuble que Jacques Martin (pour qui j'ai tout de même travaillé une bonne dizaine d'années !) adorait particulièrement, d'autant plus qu'il avait dans son propre appartement une énorme hélice presque de la même taille :
    Jolie rue, non ? Et plutôt courte (un petit kilomètre), comme quoi je la conseille à tout le monde dans ce quartier... Particulièrement si le temps persiste à rester identique durant les semaines à venir, comme l'affichait du reste une pharmacie du coin :
    Comme quoi... J'ai beau avoir la réputation de ne pas être frileux du tout, il faut bien admettre que nous sommes tout de même encore en plein été, non ?

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