PARIS SOUS TERRE...

Autrement dit, le métro...
Celui de la place du Général Catroux dans le XVIIème, souvent nommée place Malesherbes, en vertu du nom similaire du boulevard qui la traverse :

Histoire de justifier cet article à la suite de ma très récente sublime promenade (rue des Petits Champs + Saint-Eustache + rue Réaumur), il faut savoir que je suis plutôt "parano", à ce sujet... Au point que je n'avais pas pris le métro depuis au moins une bonne vingtaine d'années, préférant le bus ou la marche à pied, tellement je déteste les sous-sols, les caves, ou encore les parkings souterrains !

Mais cette fois-ci, j'étais accompagné par mes voisins pour me rendre à l'exposition de William Turner, alors bon, en toute sécurité, j'ai tout de même fini par rentrer de nouveau sous terre, avec en prime un très bas plafond :

Ceci dit, si mes souvenirs sont bons, tout ceci m'a tout de même semblé bien plus propre - et bien moins dangereux - qu'autrefois :

Voilà, c'est comme la SNCF, en gros... Sauf que l'on ne voit absolument aucun paysage de l'une des soi-disant plus belle ville du monde (l'une des raisons pour laquelle je préfère cent fois le bus ou la marche à pied) :

Et voilà, la grosse bête arrive :

J'ai bien aimé ces photos suivantes de mes deux voisins... La première parce que grâce au flou de mon NIKON, elle ressemble presque à la façon typique de Francis Bacon (un autre grand peintre anglais, 1909-1992) de déformer les visages :

La seconde grâce au fameux geste de Gran Torino, l'un des derniers films de Clint Eastwood (que j'adore à 712%) :

Arrivée à la station de Saint-Lazare à peine quelques minutes plus tard :

Mais hélas, l'on ne peut pas sortir tout de suite ! Il faut encore une fois changer de ligne :

Afin d'arriver enfin à la station visée, celle juste au pied du célèbre Grand Palais, là où a lieu la fameuse exposition de William Turner :

Et voilà, l'on remonte enfin, avec mon voisin :

Un petit passage devant une assez originale mosaïque :

Et pour finir, la retrouvaille du soleil et de l'air pur, ce qui fait vraiment du bien - même si je n'étais pas tout seul, et que le trajet ait tout juste duré un minuscule petit quart d'heure :

Vive le grand beau temps de ce mois de mai !