AVENUE D'IENA
Vendredi noir...
Autrement dit, c'est la grève des transports partout en France, et comme je devais me rentre au conservatoire du XVIème, j'en ai profité pour varier un peu l'itinéraire pédestre en descendant la vaste et longue avenue d'Iéna, qui commence et se termine face aux deux monuments les plus symboliques de la capitale :
Autrement dit, c'est la grève des transports partout en France, et comme je devais me rentre au conservatoire du XVIème, j'en ai profité pour varier un peu l'itinéraire pédestre en descendant la vaste et longue avenue d'Iéna, qui commence et se termine face aux deux monuments les plus symboliques de la capitale :
Juste derrière l'Etoile, le fameux bar Sir Winston, qui de mémoire s'est toujours trouvé là, ainsi que l'arrière de cette grosse verrue des années 70, le fameux drugstore Publicis :
Et tout au long de l'avenue, de splendides petits châteaux en style Haussmann amélioré :
Non loin de cette minuscule place dédiée au fondateur du conseil de l'Europe, dont tout le monde a oublié le nom (mais comment peut-on oublier un nom tel que celui-ci, franchement ?) :
Alors bien sûr, comme toujours, c'est de "la belle ouvrage", comme on dit :
N'empêche que cette avenue est d'une tristesse insondable - j'avais besoin de piles, et bien croyez-moi si vous le voulez, il n'y a PAS UN SEUL magasin entre la place de l'Etoile et la tour Eiffel :
Par contre, on y trouve ces deux adresses mythiques (à des titres différents) ; le très fameux Institut Goethe, où j'ai d'ailleurs en partie appris l'allemand :
Et bien sûr le célèbre musée Guimet, longtemps fermé pour cause de rénovation, qui abrite de remarquables collections d'Art oriental (notamment des statues khmères de toute beauté) :
Non loin de là, une très jolie véranda :Pour finir avec ce "machin" (comme le disait Charles De Gaulle) qui a dû servir à quelque chose, en un jour lointain :
Après quoi, l'avenue d'Iéna prend le nom d'avenue de New York, pour finalement déboucher sur le quai Kennedy, sous la façade sud du Trocadéro :
Avec cette curiosité (parce que contrairement à ce qui se passe en Allemagne ou en Autriche, les rues parisiennes dédiées à des musiciens se comptent sur les doigts d'une main, exception faite de l'avenue Mozart) :
Le métro aérien (obligatoire, tellement le sous-sol de ce quartier s'avère peu fiable) :
Et enfin, retour nocturne à la maison :
Juste pour le fun... Une adresse qui ne s'invente pas (et quand bien même, on n'y croirait pas !) :
Et une contrepèterie pas facile à résoudre, certes, mais que vous trouverez bien sûr en de nombreux endroits de la capitale :
Faites marcher vos neurones, et mettez-moi la solution en commentaire !
Libellés : Tour Eiffel, Trocadéro, XVIème