PORTE DE CHAMPERRET
Et alentours…
Mais tout d'abord, avant de nous plonger dans la grisaille parisienne, quelques images de notre belle nature, toujours bienvenues :
Mais tout d'abord, avant de nous plonger dans la grisaille parisienne, quelques images de notre belle nature, toujours bienvenues :
J'ai toujours adoré, entre autres au Japon, ces rochers escarpés débordants d'arborescences de toutes sortes :
Même si là, la supercherie commence tout de même un petit peu à se deviner (surtout si l'on prend la peine d'agrandir la photo !) :
Car en réalité, toutes ces photos ont été prises ici, porte de Champerret, en cet endroit qui ne se prête pas vraiment à la contemplation, et offre plutôt ce consternant spectacle, surtout vers 18h :
Les gens sont malades (ou masos, c'est selon)... Malgré tout le réseau de transports en commun qui existe, on dirait que ça les amuse de se vautrer, comme ça, à la queue leu leu sur le périphérique :
Alors que l'on peut prendre de si jolies photos en se promenant tout simplement à pied (gratuit, bon pour la santé, et sans le moindre stress), comme par exemple ce reflet dans l'immeuble de HEC :
Bref ! Il y a bien longtemps que j'ai renoncé à comprendre...
À part ça, petit point d'étymologie à propos duquel je m'abstiendrai de trancher : d'après Wikipédia, le terme de Champerret proviendrait du nom d'un champ appartenant à monsieur Perret, comme du reste la ville de Levallois-Perret elle-même ; alors que d'après mes bons souvenirs, moi qui ait passé toute mon enfance dans cette même commune, notre instituteur nous a toujours enseigné qu'il s'agissait autrefois d'un champ impropre à la culture, d'un "champ pierreux", donc...
Et sur le chemin du retour (toujours à pied, bien sûr), quelques illuminations un peu plus originales que d'habitude (le "C" est-il pour "rue de Courcelles" ou pour "Christmas", mystère...) :
Et sur le chemin du retour (toujours à pied, bien sûr), quelques illuminations un peu plus originales que d'habitude (le "C" est-il pour "rue de Courcelles" ou pour "Christmas", mystère...) :
Mini question pour finir : à quelle chanson de Charles Trenet cette photo, prise vers 18h au métro Wagram (encore Guimard !) pourrait-elle faire penser ?
Et secundo, quelle phrase de votre téléphone portable celle-ci pourrait-elle évoquer (notamment lorsque vous consultez votre boîte vocale) ?
Comme vous pouvez le constater, vous avez le droit d'y répondre tout de suite dans les commentaires ! Non mais...
Que demande le peuple ?
Que demande le peuple ?
Libellés : Ciels, Levallois-Perret, Paris, XVIIème