RUE ALPHONSE DE NEUVILLE
Une minuscule rue du XVIIème...
Mais qui illustre bien à quel point ce quartier fut, en son temps, celui des artistes, des musiciens, et surtout des peintres, qui appréciaient alors grandement l'aspect campagnard de ce que l'on appelait "la plaine Monceau", à une époque où le maigre prix du terrain permettait encore de se faire bâtir à relativement peu de frais un beau petit hôtel particulier, l'une des spécialités du quartier !
La preuve : après avoir dépassé l'étonnante église Saint François de Sales située rue Ampère, l'une des rares à avoir été conçue par Eugène Ewald pour s'intégrer parfaitement aux façades haussmanniennes de la rue :
Mais qui illustre bien à quel point ce quartier fut, en son temps, celui des artistes, des musiciens, et surtout des peintres, qui appréciaient alors grandement l'aspect campagnard de ce que l'on appelait "la plaine Monceau", à une époque où le maigre prix du terrain permettait encore de se faire bâtir à relativement peu de frais un beau petit hôtel particulier, l'une des spécialités du quartier !
La preuve : après avoir dépassé l'étonnante église Saint François de Sales située rue Ampère, l'une des rares à avoir été conçue par Eugène Ewald pour s'intégrer parfaitement aux façades haussmanniennes de la rue :
L'on parvient rapidement au début de ladite rue Alphonse de Neuville, peintre lui-même, élève de Delacroix), où les architectes semblent s'être livrés à un véritable festival :
Pour finir par rapidement rejoindre le boulevard Pereire, à l'angle duquel se trouve également, au N° 93, cette petite "folie" :
Voilà. C'est tout, mais avouez que c'est bien joli... Retour par la même rue, sur l'autre trottoir, avec de nouveaux angles :
Notamment sur cet hôtel que j'adore (à l'imitation du style byzantin, n'est-ce pas ?) :
Pour finir enfin par rejoindre, au croisement avec l'avenue de Wagram, le célébrissime hôtel Mercedes dans le plus pur style Art Déco, édifié par Thomas en 1937 :
Si vous êtes de passage dans le quartier, ne manquez pas d'y faire un petit détour !
Libellés : Hôtels particuliers, Paris, XVIIème