Enfin, nous y voilà : faire rentrer le piano... Enfin, plus exactement, les deux pianos. Car en 1993, je travaillais encore en tant qu'arrangeur pour Jacques Martin, et j'avais vraiment besoin de cet instrument numérique - avec, bien entendu, tous les accessoires :
Et bien sûr, d'une éventuelle armoire à partitions, qui devait être suffisamment grande pour accueillir tout le monde :
Car au départ, disons depuis que j'avais l'âge de cinq ans, je travaillais sans m'arrêter le piano classique, et ce n'est que vers 1991 que mes parents m'ont enfin offert un piano quart de queue de marque Kawai - qui avait certes beaucoup de mal à traverser tout l'espace entre les deux immeubles, de sorte que nous devions le recouvrir à bon escient :
Mais ce n'était qu'attendre un tout petit peu le moment final où nous pouvions enfin le libérer :
Et le mettre sous les doigts magiques de Fumie Ito,
ma femme, qui comme par hasard faisait le même métier que moi :
Ma foi, que voulez-vous que je vous dises ? Même s'il restait encore pas mal de coins à arranger dans cet appartement, le plus gros était fait, et ce mois d'avril 1993 voyait enfin la disponibilité du piano au grand jour - ce qui lui valut de grands sourires :
Pas mal, non ? Mais il reste quand même des travaux à faire, et ce n'est pas le plus drôle, puisqu'il s'agit de la salle de bains et de la cuisine !
4) En 1993, la salle de bains et la cuisine
5) En 1995, le marbre dans la salle de bains
6) En 1995, le marbre dans les pièces principales
7) De 1998 à 2011, la fresque des toilettes et les deux toiles
8) En 1988, mon tout premier appartement, à Levallois-Perret
Libellés : Fêtes, Maisons de musiciens, Paris, Voisins, XVIIème
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