L'INDEX DE TOUTES LES RUES ET ARRONDISSEMENTS :
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  • dimanche, décembre 08, 2024

    LOUIS MARCHAND (1669-1732)

    Voilà, c'est enfin le jour de la réouverture de Notre-Dame de Paris (évènement à suivre sur A2), qui durant cinq ans a fait l'objet d'immenses travaux, destinés à la faire revivre de ce puissant incendie qui l'a dévastée le 15 avril 2019.

    Connaissez-vous bien ce compositeur français, contemporain de Rameau et de Bach ? Il y a assez peu de chances, étant donné qu'il était de son temps le seul rival de François Couperin, et surtout du fait qu'il n'a pratiquement composé que pour orgue :

    Au cas où vous sauriez lire la musique, je vous livre la première page de son chef-d'œuvre du 3ème Livre, le Grand Dialogue en Ut :

    Mais surtout la musique de cette pièce de 7 minutes, très bien interprétée par Pierre Bardon sur le grand orgue de Saint Maximin de Provence, construit par Jean-Esprit Isnard (1707-1781)... Ce dernier facteur de l'ancien régime fut le véritable prédécesseur de Aristide Cavaillé-Coll (1811-1899), lequel a entièrement reconstruit l'orgue de Notre-Dame de Paris :
    Pour tout dire, ce compositeur était du signe du verseau, tout comme Jean-Esprit Isnard, Aristide Cavaillé-Coll, et moi-même... Ce pourquoi j'ai ressenti le besoin d'écrire un livre entier sur lui en 2006, en partie romancé, mais restant sur la ligne intégrale de son existence - laquelle fut assez chaotique, de son divorce à la rupture de sa grande amitié avec Louis XIV, autour de 1713 :
    Mon humble conseil pour aujourd'hui ? Etant donné que la cérémonie à la cathédrale s'avère plutôt complexe, avec près de 50 chefs d'état et la surveillance militaire qui s'impose, sur terre comme au ciel, je ne vous recommande qu'une chose : restez chez vous (quitte à y aller d'ici quelques jours), et regardez tranquillement le reportage de A2 à 21h15' - qui comme d'habitude va être bien tourné !

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    lundi, décembre 02, 2024

    ARISTIDE CAVAILLE-COLL (1811-1899)

    Juste avant de passer à sa grande réouverture, samedi 7 et dimanche 8 décembre, je vais me permettre de parler de l'un des grands maîtres de la cathédrale de Paris, le facteur d'orgues né en Montpellier en 1811, et en prime du verseau - tout comme moi !

    Sur cette photographie, il a apparemment 83 ans, mais il en paraît facilement 20 de moins :

    Voici l'un des grands orgues qu'il a bâti à Saint-Roch en 1839 (Paris, 1er), l'un des plus beaux parmi les plus de 500 qu'il a réalisé, reconstruit, ou simplement amélioré :

    Nous pouvons découvrir la tombe de la dynastie Cavaillé-Coll à Montpellier, où il fait partie de la quatrième génération d'une famille entièrement dévouée à cet art :

    En revanche, la ville de Paris - comme d'habitude, hélas - n'a su lui rendre hommage qu'en donnant son nom à ce petit square Aristide Cavaillé-Coll, situé dans le Xème arrondissement - alors qu'il était suffisamment célèbre pour avoir installé son atelier avenue du Maine, pas loin de Montparnasse :
    Nous débutons naturellement par le plus grand orgue qu'il ait jamais construit en 1868, celui de Notre-Dame de Paris (IVème)... Lequel avec Saint-Eustache (dans le 1er) compte parmi les deux plus grands de toute la France, avec 115 jeux et 7952 tuyaux :
    L'on continue avec un orgue un peu moins connu, celui de Saint-Sulpice (VIème), mais qui est tout autant extraordinaire, non seulement grâce à son architecture originale de style Louis XVI, mais aussi du fait qu'Aristide Cavaillé-Coll prenait en 1862 la succession de François-Henri Clicquot (1732-1790) :
    Enfin, nous voici dans la chapelle de Versailles, où nous découvrons un orgue certes plus petit (23 jeux), mais d'une incroyable beauté - comme tout le château, du reste... Il fut au départ conçu par Robert Clicquot (1711), par son petit-fils François-Henri Clicquot (1763), et enfin réparé par Aristide Cavaillé-Coll (1873) :
    Nous sommes donc prêts pour cette cérémonie impressionnante du 7 et 8 décembre, où suite à ce terrible incendie survenu le 15 avril 2019 (à voir ICI), l'on retrouve enfin pour son inauguration le grand orgue d'une parfaite conception, due à François-Henri Clicquot (1783) et à Aristide Cavaillé-Coll (1868) :
    Chose rare : on y découvre, en plus des structures principales, les fameux jeux d'anche de la chamade... Ce sont des tuyaux posés à l'horizontale, très visibles et sonores, généralement de type trompette ou clairon - bien qu'ils peuvent aussi être liés à la bombarde, au hautbois, ou au régale :
    Il reste enfin une dernière chose à faire : s'assoir et jouer... Ce qui est tout simplement extraordinaire, n'est-ce pas ?
    Vous voulez tout savoir ? Et bien, c'est en passant à l'âge de 5 ou 6 ans à Sainte-Odile de Paris (avenue Stéphane-Mallarmé, XVIIème) que je vis une jeune fille en train de jouer de l'orgue, et que j'eus donc aussitôt envie de faire de la musique - vraisemblablement grâce à la célèbre Toccata et Fugue en ré mineur de Jean-Sébastien Bach...
    Malheureusement, les appareils numériques ou digitaux n'existaient pas encore à l'époque (autour de 1964), et je me mis alors au piano - ne sachant bien sûr pas à cet âge-là la place que la musique allait occuper dans ma vie, qui fut comme vous le devinez très importante !

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    samedi, novembre 30, 2024

    INCENDIE DE NOTRE-DAME

    Bon, vu qu'en toute apparence, personne n'en a rien à foutre de la mort de Jacques Chirac, je me suis permis de me replacer sur un autre évènement historique de 2019, l'incendie de Notre-Dame de Paris, qui a eu lieu le 15 et le 16 avril durant quinze heures...
    Comme le dit fort bien Wikipédia (dont je m'inspire beaucoup pour faire cet article, y compris dans les photos), il s'agit du plus important sinistre subi par la cathédrale depuis sa construction, qui date du XIIème siècle… Avec pour résultat, une importante combustion de tout le toit, ce que l'on voit très bien d'ici : 
    Selon différentes hypothèses, cet incendie serait dû à des causes électriques liées aux cloches, à un possible attentat, ou encore - mais oui ! - à des mégots de cigarette :
    Toujours est-il que rien n'est laissé au hasard afin de lutter contre ce spectacle consternant : quatre-cents pompiers, dix-huit lances, deux bateaux-pompes, et quelques drones...
    Au bilan : la flèche centrale détruite, une importante pollution au plomb, et fort heureusement, la plupart des œuvres d'art ou des trésors sauvés, comme le Saint-Sacrement, la Sainte Couronne, la Chemise de Saint-Louis, un grand nombre de tableaux, et le grand orgue de Cavaillé-Coll...
    En théorie, les offres de tous les donateurs devaient friser les 880 millions d'euros… Mais plus de six mois après l'évènement, nous n'en sommes toujours qu'à cent millions, donc environ 12 % de la somme (une vieille habitude de la ville, dirait-on) !
    Que va-t-il maintenant se produire ? Nous avons le choix entre de nombreuses possibilités, dont celle de changer complètement l'apparence de la cathédrale, allant d'un projet incluant une toiture en verre, une flèche en cristal, ou encore un toit terrasse en bois et un jardin suspendu… Mais je suis pour ma part bien plus proche du conservateur général du patrimoine, Gérard Audinet, qui déclare tout simplement "c'est une hérésie de vouloir mettre une construction moderne sur cette cathédrale" !
    Allez éventuellement consulter Wikipédia, et dites-moi ce que vous en pensez, si ce n'est pas trop vous demander...

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    mardi, septembre 10, 2019

    MES CENT ANS !

    Mais non...
    Bien sûr que je ne fête pas mes vrais cent ans, XD !
    N'empêche que je fête aujourd'hui le centième article de ce site créé en 2007, et que mine de rien, même si je passe en général une ou deux heures à en écrire le moindre de ses sujets, ceci me prend toujours un très grand plaisir de le réaliser, étant donné que cela m'oblige à marcher à pied dans Paris entre une et quatre heures par jour.
    Alors bon... Juste histoire de rigoler un peu, petit historique avec les plus énormes commentaires laissés depuis 2007 !
    1) L'article le plus lu d'entre tous : celui concernant l'intérieur du fameux Castel Béranger, à lire ici, avec près de 40 commentaires !
    2) L'article que j'ai publié en passant Noël avenue des Champs-Élysées (36 commentaires) :
    3) L'article concernant la sublime école où j'ai la très grande chance d'enseigner depuis 1986 (17 commentaires) :
    4) L'article parlant du très génial Grand-Orgue de Saint-Louis en l'Île, joué d'une façon absolument magistrale par mon ami Vincent Rigot (là aussi, 17 commentaires) :
    5) Par la suite, un record absolument battu par les très grands amateurs culinaires (16 commenairets) :
    6) Même chose avec les 15 commentaires au sujet de cet autre restaurant du 75017 :
    7) Mais pour finir, un assez bon score au sujet de la très célèbre rue des Francs Bourgeois (15 commentaires) :
    8) Et bien sûr au sujet de ma très longue marche traversant quasiment tout Paris en 2008 (14 commentaires) :
    Pour être tout à fait exact, ce site n'est pas encore tout à fait équilibré, notamment concernant les différents arrondissements de notre ville...
    Entre autres : pour l'instant, une quarantaine d'articles sur le XVIIème (où j'habite), une trentaine sur le XVIème (où je travaille), plus une petite vingtaine sur le VIIIème (que je traverse très souvent, pour me rendre de l'un à l'autre), et ensuite, seulement une petite dizaine sur le IVème (mais je vais tenter de me rattraper) !
    Sans parler du XIème, du XIXème et du XXème, au sujet desquels je n'ai pour l'instant publié encore aucun article...
    J'aime beaucoup marcher, j'adore Paris, et je suis en prime très scotché à ce site, que j'aime énormément réaliser !
    Merci beaucoup à vous toutes (essentiellement) et à vous tous qui laissez de temps en temps des commentaires, car ceci fait toujours un immense plaisir...

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    dimanche, septembre 01, 2019

    LA LONGUE MARCHE...

    Du président Mao ?
    Bien sûr que non... Mais après une quinzaine très bien remplie dans les Hautes Alpes, je ne supportais plus de rester enfermé chez moi ou de prendre les transports en commun. Du coup, étant invité ce mardi chez de bons amis habitant le XIIème arrondissement, j'ai décidé, vu la clémence du temps et la beauté de la lumière, de me faire une bonne partie du chemin à pied, et je dois bien dire que je ne l'ai absolument pas regretté...
    Départ vers 19h depuis l'endroit où j'ai la chance d'enseigner, l'École Normale de Musique de Paris, plutôt soignée, comme architecture (et encore, vous ne connaissez sûrement pas l'intérieur) :
    Continuation logique par la place du Général Catroux (ex-place Malesherbes), où l'on peut tout à la fois admirer plusieurs statues dédiées à la famille Dumas :
    Ainsi que l'une de ces fabuleuses folies, dont certaines personnes pouvaient autrefois s'offrir le luxe de se les faire bâtir dans la plaine Monceau, en l'occurrence l'hôtel Gaillard, inspiré des châteaux de Blois et de Gien, aujourd'hui siège de la Banque de France depuis 1919 :
    Notez bien qu'aucun petit détail n'a été laissé au hasard :
    Un tout petit peu plus loin, à la jonction avec le boulevard de Courcelles, un autre bel hôtel particulier, aujourd'hui converti en ambassade, dont vous aurez sans doute tout comme moi du mal à identifier le drapeau :
    En tout cas, cet hôtel est cher à mon cœur, pour la raison suivante, bien évidente  :
    Bien qu'il ne soit pas tant que cela connu du grand public, il est néanmoins l'auteur d'œuvres absolument merveilleuses, et si je ne devais vous en conseiller que deux, ce serait le Poème pour Violon et Orchestre et le Poème de l'Amour et de la Mer... Et pour mettre fin au suspense précédent : il s'agissait de l'ambassade de Lituanie !
    Toujours en descendant le très long boulevard Malesherbes, un petit aperçu sur l'une des entrée du fabuleux parc Monceau (l'avenue Velasquez, qui mène en outre au peu connu musée Cernuschi) :
    Pour enfin arriver, à mi-chemin dudit boulevard, à cette gigantesque église totalement kitsch, Saint-Augustin :
    Très inspirée du style byzantin :
    Et curieusement édifiée entre 1860 et 1871 par Victor Ballard, autrement dit l'architecte des anciennes Halles (pour ceux qui se souviennent encore de cet édifice) :
    Juste en face du tout aussi monumental Cercle des Armées :
    Avant d'arriver, en guise de conclusion au boulevard Malesherbes, à la très fameuse église de la Madeleine, dans le plus pur style napoléonien, et qui même (le saviez-vous ?), faillit devenir une gare sous le règne de Louis-Philippe :
    Bon. Rue Royale, nous pénétrons désormais dans l'un des quartiers les plus pauvres de Paris (XD !), bien connu pour ses petites enclaves (Village Royal, entre autres) :
    Ainsi que certaines boutiques parmi les moins coûteuses de la capitale, comme chacun sait :
    De sorte que certains vendeurs (je ne citerai personne) préfèrent se la jouer bien paranoïaque, et retirer dès 19h leurs petites babioles bon marché :
    Un tout petit point de vue sur l'un des restaurants les plus connus (et les plus surfaits) du monde :
    Ce qui ne saurait cependant masquer l'hallucinante beauté de l'harmonie architecturale de la rue Royale en elle-même :
    Léger prélude & introduction à ce qui est - à mon sens - probablement la plus belle place du monde, celle de la Concorde :
    Où l'on peut pratiquement jouir, d'un seul coup d'œil, d'une bonne moitié des monuments parisiens (le Louvre, la Chambre des Députés, les Invalides, la Tour Eiffel, le Grand Palais, etc... et j'en oublie probablement) :
    Dans un état lamentable il y a une dizaine d'années, cette place a heureusement été très récemment rénovée, qu'il s'agisse des statues d'angle - chacune dédiées à l'une des grandes villes de France :
    Ou encore des candélabres de style Empire, dont j'ai toujours adoré le design et les couleurs, personnellement :
    Bon. Si cet article vous fatigue, vous pouvez toujours marquer une petite pause sympathique en vous réservant une gentille nuit pas chère à l'hôtel Crillon, juste à côté de l'ambassade de nos amis (?) américains :
    Encore plus beau si possible que la rue Royale, la magistrale enfilade des arcades de la célébrissime rue de Rivoli :
    J'ai beau adorer la montagne, il faut tout de même bien admettre que, quitte à être contraint de vivre dans une grande ville, il serait tout de même plutôt difficile de trouver mieux que la nôtre. D'autant plus qu'au sein même de ces quartiers ultra friqués, on peut aussi de temps en temps tomber sur de très sympathiques boutiques, comme par exemple celle de Soisik, 238, rue de Rivoli, qui propose non seulement de la très jolie vaisselle, avec de belles incrustations de filets métalliques :
    Mais en outre de superbes customs de Converse, que vous ne verrez certainement pas aux pieds de tout le monde :
    Ceci dit, les prix n'étaient pas affichés, donc rien ne dit que ce soit spécialement bon marché, surtout au voisinage de la très célèbre place Vendôme :
    L'endroit de Paris où l'on s'approche tout de même des hôtels les plus luxueux du monde, à juste titre (le Meurice et le Brighton) :
    Sans même parler du fabuleux salon de thé Angélina, de réputation quasi mondiale, dont l'extérieur plutôt banal ne laisse hélas pas augurer de sa décoration intérieure très étonnante, même si plutôt dans le genre très kitsch, on va dire :
    Quoi qu'il en soit, une chose est sûre & certaine : si vous n'avez jamais bu un chocolat chaud chez Angélina, et bien... Vous n'avez jamais bu de chocolat chaud, en résumé !
    Autre chose assez surprenante tout au long de ces magnifiques arcades de la rue de Rivoli : c'est qu'il y a probablement dû y avoir au départ une sorte de cahier des charges relativement contraignant, vu que toutes les mosaïques se résument à ces deux seuls modèles imposés :
    Vingt heures : c'est ce moment magique où la lumière commence vraiment à se transformer, pour rendre Paris encore plus beau que Paris :
    Et alors là, je suis particulièrement content de ces deux photos de la statue de Jeanne d'Arc, située place des Pyramides, à tel point que je vous les ai à peine compressées, de sorte que si vous souhaitez les télécharger en fond d'écran, ça ne devrait pas si mal rendre, finalement :
    Peu après, l'inévitable Palais Royal, assez peu intéressant en lui-même, mais surtout pour ses jardins intérieurs :
    Début de siècle qui vaut d'ailleurs à ce quartier un assez grand nombre de stations de métro Guimard, comme il en subsiste assez peu à Paris, sinon dans le XVIème et le XVIIème :
    Un peu plus loin, cet endroit fabuleux :
    Où si vous jouissez de revenus, disons, d'environ 500000 Euros mensuels, vous pouvez vous offrir de très belles choses, parfois même meilleures qu'en face :
    Sachons - au passage - être narcissique quand il le faut... Une photo dont je suis très fier, mais dont vous ne sauriez apprécier tout le sel sans cliquer dessus pour l'agrandir :
    Plus guère de marche, désormais, jusqu'à la fin de ma soi-disant randonnée, mais cependant encore de très belles choses à voir, notamment l'Oratoire du Louvre :
    Saint-Germain l'Auxerrois, l'une des plus sublimes églises gothiques de Paris :
    Et alors là, très curieusement, c'est précisément à cet endroit précis que la très luxueuse rue de Rivoli se transforme d'un seul coup en une sorte de souk ultra commerçant, uniquement dédié aux marques hyper branchées :
    Ce qui, soit dit en passant, doit être relativement endémique, si l'on en juge par ces clichés :
    Enfin bon... Me voici enfin arrivé au bout de mon long périple, avec ce merveilleux monument, la tour Saint-Jacques, sorte d'énigme parisienne qui fascina toute sa vie André Breton, fantastique écrivain qui n'était tout de même pas la moitié d'un imbécile, vu qu'il était verseau ascendant balance, tout comme moi !
    Bref ! J'arrête de me la péter grave, là, pour conclure d'une part avec la nouvelle maison de Monsieur Delanoé (l'Hôtel de Ville) :
    Et donc : il ne faut jamais être impoli avec ses hôtes (surtout quand ils vous filent quasiment gratos des NIKON de folie, quoi)... Du coup, histoire d'arriver bien à l'heure, j'ai sauté dans un taxi dès que j'ai pu, ce qui m'a permis à l'arrache cette ultime photo de la grande bibliothèque :
    Et bien voilà, c'est terminé !
    Adoncques, voilà, je vais pour ma part faire pareil que les vainqueurs du tour de France : un grand merci à ma marque chérie Reebok Freestyle, pour m'avoir permis d'avoir accompli ce long périple en m'étant tout le temps senti parfaitement à l'aise :
    En plus : c'est jaune, c'est provocant, ça attire tous les regards, bref... J'adore, c'est géant !

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